Animée par les sons des tam-tams et balafons d'un groupe de danse traditionnelle, cette soirée a permis aux responsables de MEKASNA d'appeler à la solidarité envers les déplacés de Paoua.
« Nous, les ressortissants de Paoua, ne pouvons pas rester insensibles aux souffrances des nôtres. D'où cet appel à tous les ressortissants de Paoua et ceux qui sont touchés par les conséquences de ces violences d'apporter leur assistance aux victimes, par la collecte des contributions en faveur des vctimes », a déclaré le Secrétaire général de MEKASNA, Josias Tébéro.
Josias Tébéro a indiqué que c'est sur fonds propres que l'organisation tente d’apporter un soutien aux victimes de Paoua bien le gouvernement, les partenaires et les ONG humanitaires.
Il a lancé un cri du cœur en direction du Programme Alimentaire Mondiale (PAM), des personnes de bonne volonté, du gouvernement et de la MINUSCA pour un secours humanitaire et sécuritaire en direction des populations de la sous-préfecture de Paoua, disposée à retrouver la quiétude et reprendre leurs activités.
Il est à noter que, selon les humanitaires, plus de 65 000 déplacés fuyant des combats dans les villages autour de Paoua sont déjà enregistrés dans cette localité.
« Nous, les ressortissants de Paoua, ne pouvons pas rester insensibles aux souffrances des nôtres. D'où cet appel à tous les ressortissants de Paoua et ceux qui sont touchés par les conséquences de ces violences d'apporter leur assistance aux victimes, par la collecte des contributions en faveur des vctimes », a déclaré le Secrétaire général de MEKASNA, Josias Tébéro.
Josias Tébéro a indiqué que c'est sur fonds propres que l'organisation tente d’apporter un soutien aux victimes de Paoua bien le gouvernement, les partenaires et les ONG humanitaires.
Il a lancé un cri du cœur en direction du Programme Alimentaire Mondiale (PAM), des personnes de bonne volonté, du gouvernement et de la MINUSCA pour un secours humanitaire et sécuritaire en direction des populations de la sous-préfecture de Paoua, disposée à retrouver la quiétude et reprendre leurs activités.
Il est à noter que, selon les humanitaires, plus de 65 000 déplacés fuyant des combats dans les villages autour de Paoua sont déjà enregistrés dans cette localité.