L’objectif de cette campagne de sensibilisation est d’informer les victimes des violences basées sur le genre sur les moyens d’accéder aux services judiciaires afin de défendre leurs droits et de limiter l’impunité.
La présidente de l’ONG CIAF/Centrafrique (Comité Inter Africain pour les Femmes de Centrafrique), Marguerite Ramadan, a émis le vœu que « toutes les communautés s’impliquent dans la prévention des violences faites aux femmes ainsi que la prise en charge des victimes sur le plan social ».
Elle a établi un lien entre la paix et justice et a fait remarquer qu’en République Centrafricaine, les victimes des violences basées sur le genre sont paradoxalement restées comme si de rien n’était, parce que la plupart de ces victimes méconnaissent les procédures pour porter plainte, de peur d’être stigmatisées. De facto, a-t-elle signalé, cette situation a entretenu la culture de l’impunité dans le pays.
Elle a indiqué que durant les moments forts de la crise centrafricaine, l’ONG CIAF/Centrafrique a porté un sérieux appui aux victimes des violences basées sur le genre, grâce au concours de l’ONU/femme. En 2014, 2096 femmes ont été prises en charge dans les 8 arrondissements de Bangui, dans les communes de Bimbo et Bégoua.
En 2015, le nombre des femmes victimes qui ont été prises en charge par l’ONG/CIAF est passé à 1.202 individus, du fait de l’accalmie. Ces femmes ont été victimes de violences physiques, de coups et blessures, de viol, etc.
La présidente de l’ONG CIAF/Centrafrique (Comité Inter Africain pour les Femmes de Centrafrique), Marguerite Ramadan, a émis le vœu que « toutes les communautés s’impliquent dans la prévention des violences faites aux femmes ainsi que la prise en charge des victimes sur le plan social ».
Elle a établi un lien entre la paix et justice et a fait remarquer qu’en République Centrafricaine, les victimes des violences basées sur le genre sont paradoxalement restées comme si de rien n’était, parce que la plupart de ces victimes méconnaissent les procédures pour porter plainte, de peur d’être stigmatisées. De facto, a-t-elle signalé, cette situation a entretenu la culture de l’impunité dans le pays.
Elle a indiqué que durant les moments forts de la crise centrafricaine, l’ONG CIAF/Centrafrique a porté un sérieux appui aux victimes des violences basées sur le genre, grâce au concours de l’ONU/femme. En 2014, 2096 femmes ont été prises en charge dans les 8 arrondissements de Bangui, dans les communes de Bimbo et Bégoua.
En 2015, le nombre des femmes victimes qui ont été prises en charge par l’ONG/CIAF est passé à 1.202 individus, du fait de l’accalmie. Ces femmes ont été victimes de violences physiques, de coups et blessures, de viol, etc.