L’enjeu de cette rencontre est de partager la vision du Président de la République en ce qui concerne la formation sectorielle dont l’ENAM a l’obligation de collaborer avec le ministère technique ( la Justice) pour la formation de 60 magistrats et 40 greffiers, sur financement du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et le gouvernement américain.
Le ministre d’Etat de la Justice a rappelé que le Chef de l’Etat a mis l’accent sur une armée républicaine, donc le ministère de la Justice à l’obligation, à travers la formation des acteurs judiciaires qui sont entre autres les magistrats, les greffiers et les avocats, de faire en sorte que tous les Centrafricains soient concernés.
« L’ENAM est une école de formation des dirigeants, ceux qui sont appelés à gouverner le pays ; donc la question d’inclusivité doit être une priorité pour le gouvernement. C’est de faire en sorte qu’au niveau de ladite école, que tous le Centrafricains ont la chance d’y accéder, et la question de méritocratie doit être à l’ordre du jour », a soutenu le chef du département de la Justice.
Le membre du gouvernement a relevé que cette formation doit se débarrasser de tout préjugé. Qu’elle doit permettre d’avoir des acteurs de la justice qui seront des Centrafricains les plus méritants et dynamiques pour participer à l’œuvre de la justice.
S’agissant de la responsabilité des femmes, Arnaud Djoubaye-Abazene a encouragé les Centrafricaines à accéder à plusieurs formations pour pouvoir à termes régler le problème de parité.
Il faut mentionner que l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature assure également la formation continue dans le domaine de l’administration générale des cadres des différents départements ministériels
Le ministre d’Etat de la Justice a rappelé que le Chef de l’Etat a mis l’accent sur une armée républicaine, donc le ministère de la Justice à l’obligation, à travers la formation des acteurs judiciaires qui sont entre autres les magistrats, les greffiers et les avocats, de faire en sorte que tous les Centrafricains soient concernés.
« L’ENAM est une école de formation des dirigeants, ceux qui sont appelés à gouverner le pays ; donc la question d’inclusivité doit être une priorité pour le gouvernement. C’est de faire en sorte qu’au niveau de ladite école, que tous le Centrafricains ont la chance d’y accéder, et la question de méritocratie doit être à l’ordre du jour », a soutenu le chef du département de la Justice.
Le membre du gouvernement a relevé que cette formation doit se débarrasser de tout préjugé. Qu’elle doit permettre d’avoir des acteurs de la justice qui seront des Centrafricains les plus méritants et dynamiques pour participer à l’œuvre de la justice.
S’agissant de la responsabilité des femmes, Arnaud Djoubaye-Abazene a encouragé les Centrafricaines à accéder à plusieurs formations pour pouvoir à termes régler le problème de parité.
Il faut mentionner que l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature assure également la formation continue dans le domaine de l’administration générale des cadres des différents départements ministériels