Organisé par le ministère des Affaires Sociales, de la Solidarité Nationale et de la Famille en partenariat avec le Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA), cet atelier s’inscrit dans le cadre d’un large processus de relecture du Code de la Famille, qui a regroupé les principaux acteurs du secteur public, de la société civile ainsi que les partenaires au développement qui analyseront les contributions issues des cinq ateliers de concertation.
L’objectif spécifique est de présenter aux acteurs du secteur public, de la société civile et aux partenaires au développement les amendements et contributions issues des cinq ateliers de concertation par rapport aux propositions des consultants. Recueillir les commentaires et propositions pertinentes des participants.
Le Coordonnateur du Programme de l’UNFPA, Dr. Traoré Amadou a exhorté les participants d’examiner avec beaucoup d’attention, pour une dernière fois, le projet de loi n° 97.013 du 11 novembre 1997 portant actualisation du Code de la famille en République Centrafricaine. Car, a-t-il expliqué le bon devenir de la famille centrafricaine en dépend.
Le Chargé de mission, Emmanuel Ndjada a souligné que dans toute société au monde, la famille est et demeure le capital social par excellence. L’état de la société reflète corrélativement l’état des familles qui la composent. Afin de garantir les droits inaliénables et les devoirs des composantes des familles, le gouvernement centrafricain a adopté en 1997 le code de la famille.
« En 2009, le gouvernement à travers le ministère des Affaires Sociales a bénéficié des ressources de l’UNFPA et recruté quatre consultants nationaux qui ont analysé les différentes dispositions du code de la famille et produit un rapport sur les dispositions discriminatoires et/ou contradictoires contenues dans le code de la famille par rapport aux textes juridiques adoptés ou ratifiés par la RCA », a-t-il ajouté
Le Chargé de mission, Emmanuel Ndjada a demandé à tous les participants d’apporter leurs modestes contributions afin d’améliorer les dispositions du Code de la Famille.
L’objectif spécifique est de présenter aux acteurs du secteur public, de la société civile et aux partenaires au développement les amendements et contributions issues des cinq ateliers de concertation par rapport aux propositions des consultants. Recueillir les commentaires et propositions pertinentes des participants.
Le Coordonnateur du Programme de l’UNFPA, Dr. Traoré Amadou a exhorté les participants d’examiner avec beaucoup d’attention, pour une dernière fois, le projet de loi n° 97.013 du 11 novembre 1997 portant actualisation du Code de la famille en République Centrafricaine. Car, a-t-il expliqué le bon devenir de la famille centrafricaine en dépend.
Le Chargé de mission, Emmanuel Ndjada a souligné que dans toute société au monde, la famille est et demeure le capital social par excellence. L’état de la société reflète corrélativement l’état des familles qui la composent. Afin de garantir les droits inaliénables et les devoirs des composantes des familles, le gouvernement centrafricain a adopté en 1997 le code de la famille.
« En 2009, le gouvernement à travers le ministère des Affaires Sociales a bénéficié des ressources de l’UNFPA et recruté quatre consultants nationaux qui ont analysé les différentes dispositions du code de la famille et produit un rapport sur les dispositions discriminatoires et/ou contradictoires contenues dans le code de la famille par rapport aux textes juridiques adoptés ou ratifiés par la RCA », a-t-il ajouté
Le Chargé de mission, Emmanuel Ndjada a demandé à tous les participants d’apporter leurs modestes contributions afin d’améliorer les dispositions du Code de la Famille.