POLITIQUE
INSTRUMENTALISATION ALGERIENNE DU CAS DES VICTIMES SAHRAOUIES DE L'ACCIDENT DE LA GARE ROUTIERE D'AGADIR AU MAROC
RETABLISSEMENT DE LA VERACITE DES FAITS
Les sinistres antagonistes de la marocanité du Sahara dit improprement Occidental, persistant, avec opiniâtreté dans leurs manœuvres insidieuses et dans leurs insinuations fantasmagoriques fallacieuses, tentent de nouveau, du reste vainement comme toujours en désespoir de cause, de ternir l’image de marque du Royaume du Maroc qui poursuit inexorablement avec succès, hautement apprécié par la communauté internationale, le parachèvement de son intégrité territoriale englobant notamment ses provinces sahariennes et pour ce faire, s’évertuent à déployer diaboliquement une récupération éhontée, cynique, du drame engendré par un accident d’autocar survenu le 1er décembre 2008 à la gare routière d’Agadir.
La désinformation ainsi ourdie à des fins innommées et innommables consiste, d’une manière flagrante, à exploiter la douleur et la peine qui affectent les familles éprouvées des victimes, pour ériger cet événement dramatique en fait politique de propagande hostile au Royaume du Maroc qui ne cesse de réaliser des acquis en matière de consolidation des droits de l’Homme.
L'accident dont il s'agit, en l'occurrence, s'est soldé par le décès de deux étudiants et par les blessures d'un troisième en observation à l'hôpital, après avoir été heurté accidentellement par un autocar qu'ils tentaient d'empêcher de sortir de la gare.
Cet accident est survenu au moment où des étudiants et étudiantes, voulant regagner leurs provinces du sud, ont investi la gare routière revendiquant d'être servis les premiers malgré d'interminables files d'attente habituelles à la veille des fêtes.
Munis de réquisitions tenant lieu de billets, ils ont alors refusé de patienter jusqu'au lendemain, vu que les billets correspondant à la date exigée avaient été déjà vendus. En réaction, ils ont entravé le départ des autocars en dressant des barricades de pierres.
Du dérapage subséquent, ont résulté le décès des deux étudiants et les blessures d'un troisième qui bravaient le danger en s'accrochant au pare-brise d'un autocar en marche et en le détournant de sa trajectoire au point que ce véhicule a heurté brutalement le mur. Ainsi, les deux étudiants décédés ont été accidentellement écrasés et le troisième, blessé, éjecté vers l'avant.
Afin d'éclaircir les circonstances de survenance de cet accident et d'en déterminer les responsabilités, une instruction judiciaire a été illico presto ouverte pour l'audition de la société de l'autocar impliqué (dirigeants, chauffeur, mécanicien) et de l'administration de la gare routière.
Il importe de signaler que les étudiants originaires des provinces du sud bénéficient d'un certain nombre de mesures sociales de soutien pour les aider à mieux supporter l'éloignement des sites universitaires où ils poursuivent leurs études. Ces mesures profitent à près de 2300 étudiants répartis sur 12 cités universitaires.
Ci-après les principaux avantages en question :
- Dérogation à l'accès contingenté au logement et à la durée d'occupation autorisée ;
-Octroi annuel de 6 réquisitions à chaque étudiant originaire des provinces du sud à l'occasion des fêtes religieuses, vacances, rentrée scolaire, etc.
Ces modes préférentiels sont applicables par souci d'une gestion rigoureusement adéquate à la situation sociale des étudiants sahraouis : éloignement de leurs provinces d'origine (1500 à 2000 km) et déficit infrastructurel universitaire dû à la récupération tardive des provinces du sud 20 ans après l'indépendance du Maroc.
Il y a lieu de souligner que :
-Les compagnies de transport sont des société privées qui doivent gérer leurs parcs de véhicules et assurer le transport à tous les citoyens sans discrimination aucune. Les réservations en question sont prises en compte des jours auparavant ;
-Les départements gouvernementaux concernés ont sensibilisé les compagnies de transport afin de réserver un nombre suffisant de places au profit de ces étudiants pour la veille de ces occasions ;
-Tout le monde sait qu'à la veille d'occasions sacrées, notamment l'Aïd Aladha (tabaski), les moyens de transport connaissent une affluence record. Les billets sont achetés et payés des semaines, voire des mois à l'avance ;
-Dans des circonstances pareilles, le changement d'une date de billetterie s'avère difficile, sinon impossible, surtout quand il s'agit de répondre, le même jour, à la demande de dizaine de personnes impatientes.
RETABLISSEMENT DE LA VERACITE DES FAITS
Les sinistres antagonistes de la marocanité du Sahara dit improprement Occidental, persistant, avec opiniâtreté dans leurs manœuvres insidieuses et dans leurs insinuations fantasmagoriques fallacieuses, tentent de nouveau, du reste vainement comme toujours en désespoir de cause, de ternir l’image de marque du Royaume du Maroc qui poursuit inexorablement avec succès, hautement apprécié par la communauté internationale, le parachèvement de son intégrité territoriale englobant notamment ses provinces sahariennes et pour ce faire, s’évertuent à déployer diaboliquement une récupération éhontée, cynique, du drame engendré par un accident d’autocar survenu le 1er décembre 2008 à la gare routière d’Agadir.
La désinformation ainsi ourdie à des fins innommées et innommables consiste, d’une manière flagrante, à exploiter la douleur et la peine qui affectent les familles éprouvées des victimes, pour ériger cet événement dramatique en fait politique de propagande hostile au Royaume du Maroc qui ne cesse de réaliser des acquis en matière de consolidation des droits de l’Homme.
L'accident dont il s'agit, en l'occurrence, s'est soldé par le décès de deux étudiants et par les blessures d'un troisième en observation à l'hôpital, après avoir été heurté accidentellement par un autocar qu'ils tentaient d'empêcher de sortir de la gare.
Cet accident est survenu au moment où des étudiants et étudiantes, voulant regagner leurs provinces du sud, ont investi la gare routière revendiquant d'être servis les premiers malgré d'interminables files d'attente habituelles à la veille des fêtes.
Munis de réquisitions tenant lieu de billets, ils ont alors refusé de patienter jusqu'au lendemain, vu que les billets correspondant à la date exigée avaient été déjà vendus. En réaction, ils ont entravé le départ des autocars en dressant des barricades de pierres.
Du dérapage subséquent, ont résulté le décès des deux étudiants et les blessures d'un troisième qui bravaient le danger en s'accrochant au pare-brise d'un autocar en marche et en le détournant de sa trajectoire au point que ce véhicule a heurté brutalement le mur. Ainsi, les deux étudiants décédés ont été accidentellement écrasés et le troisième, blessé, éjecté vers l'avant.
Afin d'éclaircir les circonstances de survenance de cet accident et d'en déterminer les responsabilités, une instruction judiciaire a été illico presto ouverte pour l'audition de la société de l'autocar impliqué (dirigeants, chauffeur, mécanicien) et de l'administration de la gare routière.
Il importe de signaler que les étudiants originaires des provinces du sud bénéficient d'un certain nombre de mesures sociales de soutien pour les aider à mieux supporter l'éloignement des sites universitaires où ils poursuivent leurs études. Ces mesures profitent à près de 2300 étudiants répartis sur 12 cités universitaires.
Ci-après les principaux avantages en question :
- Dérogation à l'accès contingenté au logement et à la durée d'occupation autorisée ;
-Octroi annuel de 6 réquisitions à chaque étudiant originaire des provinces du sud à l'occasion des fêtes religieuses, vacances, rentrée scolaire, etc.
Ces modes préférentiels sont applicables par souci d'une gestion rigoureusement adéquate à la situation sociale des étudiants sahraouis : éloignement de leurs provinces d'origine (1500 à 2000 km) et déficit infrastructurel universitaire dû à la récupération tardive des provinces du sud 20 ans après l'indépendance du Maroc.
Il y a lieu de souligner que :
-Les compagnies de transport sont des société privées qui doivent gérer leurs parcs de véhicules et assurer le transport à tous les citoyens sans discrimination aucune. Les réservations en question sont prises en compte des jours auparavant ;
-Les départements gouvernementaux concernés ont sensibilisé les compagnies de transport afin de réserver un nombre suffisant de places au profit de ces étudiants pour la veille de ces occasions ;
-Tout le monde sait qu'à la veille d'occasions sacrées, notamment l'Aïd Aladha (tabaski), les moyens de transport connaissent une affluence record. Les billets sont achetés et payés des semaines, voire des mois à l'avance ;
-Dans des circonstances pareilles, le changement d'une date de billetterie s'avère difficile, sinon impossible, surtout quand il s'agit de répondre, le même jour, à la demande de dizaine de personnes impatientes.
