Cette subvention accordée à la République Centrafricaine financera une partie des dépenses inscrites au budget de l’Etat pour l’année 2014. Dans le contexte économique et financier particulièrement difficile du pays, cet appui a pour vocation d’exercer un effet de levier pour catalyser des fonds au profit de la RCA. Il permettra aussi de procéder au règlement d’arriérés et de dépenses nécessaires au démarrage rapide de projets ou de financements destinés à relancer l’activité économique.
Selon le diplomate français, Charles Malinas, le décaissement de cette aide budgétaire est conditionné au bon déroulement de la mise en place du programme avec le Fonds Monétaire International. A cet égard , les parties se sont accordées sur la nécessité de réaliser dans un meilleur délais les actions demandées par le Fonds Monétaires International (FMI), relatives notamment aux comités de trésoreries et de suivi/ gestion des finances publiques ainsi que l’obtention d’information nécessaires à l’élaboration d’un budget 2014, condition préalable à l’administration du (FMI).
Il convient de noter que ce nouveau concours vient ainsi compléter le portefeuille de l’Agence Française de développement en Centrafrique représentant plus de 25 millions d’euros de projets actifs visant à soutenir la relance des secteurs prioritaires et à répondre aux enjeux de court et moyen terme de la République Centrafricaine
Mme la ministre de l’Economie a rassuré l’Ambassadeur que l’esprit qui a soutenu les négociations jusqu’à l’aboutissement heureux sera respecté et constituera le déclencheur de passage de l’humanitaire au développement, précisant que « les dossiers devant être soumis au financement de cette convention, seront examinés avec la plus grande rigueur et célérité ».
Selon le diplomate français, Charles Malinas, le décaissement de cette aide budgétaire est conditionné au bon déroulement de la mise en place du programme avec le Fonds Monétaire International. A cet égard , les parties se sont accordées sur la nécessité de réaliser dans un meilleur délais les actions demandées par le Fonds Monétaires International (FMI), relatives notamment aux comités de trésoreries et de suivi/ gestion des finances publiques ainsi que l’obtention d’information nécessaires à l’élaboration d’un budget 2014, condition préalable à l’administration du (FMI).
Il convient de noter que ce nouveau concours vient ainsi compléter le portefeuille de l’Agence Française de développement en Centrafrique représentant plus de 25 millions d’euros de projets actifs visant à soutenir la relance des secteurs prioritaires et à répondre aux enjeux de court et moyen terme de la République Centrafricaine
Mme la ministre de l’Economie a rassuré l’Ambassadeur que l’esprit qui a soutenu les négociations jusqu’à l’aboutissement heureux sera respecté et constituera le déclencheur de passage de l’humanitaire au développement, précisant que « les dossiers devant être soumis au financement de cette convention, seront examinés avec la plus grande rigueur et célérité ».