Cette conférence de presse avait pour objectif de soutenir les victimes d’actes de torture, de condamner ces actes et faire en sorte que les auteurs soient poursuivis.
Me Guy Antoine Dangavo a fait savoir que la République Centrafricaine est signataire de nombreux instruments juridiques, dont entre autres, la Convention contre la torture et autres peines et traitements cruels, inhumains ou dégradant des Nations Unies du 10 décembre 1984.
Le Président de l’ACAT-RCA, conscient de ce que beaucoup reste à faire, a par ailleurs déploré le fait que « la plupart des victimes n’ont jamais l’occasion de raconter leurs histoires ».
Avec la crise actuelle en République Centrafricaine, les auteurs d’actes de tortures se trouveraient dans les rangs des ex-Séléka, de la milice anti-balaka, dans la police, la gendarmerie et l’armée. Malheureusement, a encore constaté Me Guy Antoine Dangavo, « il n’existe pas de prison et l’insécurité est encore grandissante dans le pays ».
Me Guy Antoine Dangavo a fait savoir que la République Centrafricaine est signataire de nombreux instruments juridiques, dont entre autres, la Convention contre la torture et autres peines et traitements cruels, inhumains ou dégradant des Nations Unies du 10 décembre 1984.
Le Président de l’ACAT-RCA, conscient de ce que beaucoup reste à faire, a par ailleurs déploré le fait que « la plupart des victimes n’ont jamais l’occasion de raconter leurs histoires ».
Avec la crise actuelle en République Centrafricaine, les auteurs d’actes de tortures se trouveraient dans les rangs des ex-Séléka, de la milice anti-balaka, dans la police, la gendarmerie et l’armée. Malheureusement, a encore constaté Me Guy Antoine Dangavo, « il n’existe pas de prison et l’insécurité est encore grandissante dans le pays ».