Le tribunal a condamné M. Adoum Mahamat à la peine de mort et le contraint à verser 100.000 Fcfa à titre de dommage intérêt à la partie civile.
M. Adoum avait donné la mort à un jeune enfant de 8 ans dénommé Bouchara après préméditation, puis à sa propre épouse Hawa Hamadou pour la simple raison que cette dernière lui a refusée un rapport sexuel forcé.
Le procureur général, le magistrat Flavien Goba a révélé à l’audience que M. Adoum avait une vie de ruse et fumait du chanvre indien.
L’audience de lundi a aussi condamné à la peine de 20 ans de travaux forcés M. René Passiri pour homicide volontaire.
M. Passiri a affirmé que dans la nuit du 10 février 2005, il a été poussé par l’effet de la colère et de jalousie de sa femme Virginie Bernadette Moussa qu’il lui a donné un coup de couteau mortel. Elle vivait en adultère avec un certain Kanga.
M. Passiri a bénéficié des circonstances atténuantes, d’excuses de provocation et d’adultère.
M. Adoum avait donné la mort à un jeune enfant de 8 ans dénommé Bouchara après préméditation, puis à sa propre épouse Hawa Hamadou pour la simple raison que cette dernière lui a refusée un rapport sexuel forcé.
Le procureur général, le magistrat Flavien Goba a révélé à l’audience que M. Adoum avait une vie de ruse et fumait du chanvre indien.
L’audience de lundi a aussi condamné à la peine de 20 ans de travaux forcés M. René Passiri pour homicide volontaire.
M. Passiri a affirmé que dans la nuit du 10 février 2005, il a été poussé par l’effet de la colère et de jalousie de sa femme Virginie Bernadette Moussa qu’il lui a donné un coup de couteau mortel. Elle vivait en adultère avec un certain Kanga.
M. Passiri a bénéficié des circonstances atténuantes, d’excuses de provocation et d’adultère.