POLITIQUE
Comme prescrit dans la bible l’homme gagnera son pain à la sueur de son front» est la raison qui a motivé Juscky Mandayen à être pêcheurs du sable.
" Pour ce genre de travail, il faut rassembler un certain nombre des matériels entre autre une pirogue, une sagaie, une perche, un panier, un seau, une corde et une pelle " a dit Juscky Mandayen.
En travaillant en équipe composée de trois ou plusieurs personnes facilite la pêche du sable car il faut travailler en chaine a-t-il confirmé.
En saison sèche, la pêche est rentable, étant donné que le niveau de la rivière Oubangui est son étiage et ne nécessite pas assez d’effort pour l’équipe, cependant pendant la crue de l’Oubangui, cela demande beaucoup d’énergie.
« En saison des pluies, nous allons sur plusieurs distances voire atteindre la ville de Zongo et en plus de cela, il faut plonger au fond de l’Oubangui pour pêcher le sable » a-t-il expliqué.
«Nous éprouvons d’énormes difficultés, car la manière dont nous exploitons le sable est à notre risque et périr » a martelé Juscky Mandayen.
« Les fractures des membres du corps, les blessures et les manques d’audition sont les lots de contraintes que rencontrent les pêcheurs du sable. La personne peut tomber et casser l’un de ces membres inférieurs ou supérieurs, aussi la personne peut blesser par un morceau de bouteille ou de fer La saison des pluies est la période la plus pénible car la personne peut avoir les maux de tête hémorragie nasale et même perd sa vie. Le fait de plonger dans l’eau à des conséquences graves sur la santé des exploitants et au fil de temps la personne devient un aveugle où mal entendant » a-t-il témoigné.
Notons que ces exploitants vendent leurs produits selon la demande et l’offre. Car il y a diverses qualité de sable dont il s’agit entre autres du sable fin, gros sable, gravier, petit gravier et tamiser.
" Pour ce genre de travail, il faut rassembler un certain nombre des matériels entre autre une pirogue, une sagaie, une perche, un panier, un seau, une corde et une pelle " a dit Juscky Mandayen.
En travaillant en équipe composée de trois ou plusieurs personnes facilite la pêche du sable car il faut travailler en chaine a-t-il confirmé.
En saison sèche, la pêche est rentable, étant donné que le niveau de la rivière Oubangui est son étiage et ne nécessite pas assez d’effort pour l’équipe, cependant pendant la crue de l’Oubangui, cela demande beaucoup d’énergie.
« En saison des pluies, nous allons sur plusieurs distances voire atteindre la ville de Zongo et en plus de cela, il faut plonger au fond de l’Oubangui pour pêcher le sable » a-t-il expliqué.
«Nous éprouvons d’énormes difficultés, car la manière dont nous exploitons le sable est à notre risque et périr » a martelé Juscky Mandayen.
« Les fractures des membres du corps, les blessures et les manques d’audition sont les lots de contraintes que rencontrent les pêcheurs du sable. La personne peut tomber et casser l’un de ces membres inférieurs ou supérieurs, aussi la personne peut blesser par un morceau de bouteille ou de fer La saison des pluies est la période la plus pénible car la personne peut avoir les maux de tête hémorragie nasale et même perd sa vie. Le fait de plonger dans l’eau à des conséquences graves sur la santé des exploitants et au fil de temps la personne devient un aveugle où mal entendant » a-t-il témoigné.
Notons que ces exploitants vendent leurs produits selon la demande et l’offre. Car il y a diverses qualité de sable dont il s’agit entre autres du sable fin, gros sable, gravier, petit gravier et tamiser.
