Le but de cette journée porte ouverte est d’informer la population et les bailleurs de fonds sur les avancées du projet pilote « Appui à la création d’un centre pilote de formation et d’insertion socio-économique des jeunes affectés par les conflits en République Centrafricaine ».
Le ministre Félix Moloua a félicité les responsables du Mont Carmel sur les opportunités offertes sur ce site et a estimé que c’est un projet important qui mérite une attention particulière de la part du gouvernement.
Il a préconisé une bonne coordination des projets du site de Carmel, N’Zila et Boali, voire celui de Bambari encore en cours de réalisation.
Il a fait savoir que l’objectif poursuivi par le gouvernement est de créer un lien avec les sociétés de micro-finance susceptibles de relancer l’économie de notre pays et pense que la création d'entreprise ne devrait pas être l’apanage de l’Etat.
Le ministre Honoré Féizouré s’est dit très impressionné par les travaux effectués sur le site du Mont Carmel, notamment par la chaîne de production : palmeraie qui produit de l’huile de palme, transformé à son tour pour devenir du savon.
Selon lui, après cette journée porte ouverte, ils iront rendre compte au Président Faustin-Archange Touadéra qui accorde aussi une importance particulière au secteur agropastoral.
Le Représentant intérimaire de la FAO, Alain Constant, a pour sa part indiqué que le site du Mont Carmel a été confronté aux effets de la crise, notamment en décembre 2013, où il a eu à faire face à un afflux massif de populations en provenance du PK5 et des quartiers environnants (Cattin, Plateau, Boeing et Bimbo) en quête de protection.
« Les efforts des Pères Carmes pour parvenir à une solution durable aux déplacés a permis à de nombreux déplacés de regagner leurs familles d’origine ont trouvé un écho favorable au niveau international, notamment auprès de l’Alliance de la FAO des Prix Nobel pour la Paix et la Sécurité Alimentaire, créée par le Directeur-Général de la FAO et quatre Lauréats du Prix Nobel de la Paix (Oscar Arias, Muhamad Yunus, Tawakol Karman et Betty Williams), en mai 2016 », a-t-il poursuivi.
S’adressant aux bénéficiaires, le représentant de la FAO a fait savoir que cette formation n’est que la première étape d’un parcours professionnel qui fera d’eux de futurs agro-entrepreneurs et qu’il faudra encore travailler dur pour qu’ils puissent s’insérer dans le tissu économique du pays.
Il convient de rappeler que ce projet bénéficie du financement du gouvernement italien à hauteur de 2 millions de dollars américains.
Le ministre Félix Moloua a félicité les responsables du Mont Carmel sur les opportunités offertes sur ce site et a estimé que c’est un projet important qui mérite une attention particulière de la part du gouvernement.
Il a préconisé une bonne coordination des projets du site de Carmel, N’Zila et Boali, voire celui de Bambari encore en cours de réalisation.
Il a fait savoir que l’objectif poursuivi par le gouvernement est de créer un lien avec les sociétés de micro-finance susceptibles de relancer l’économie de notre pays et pense que la création d'entreprise ne devrait pas être l’apanage de l’Etat.
Le ministre Honoré Féizouré s’est dit très impressionné par les travaux effectués sur le site du Mont Carmel, notamment par la chaîne de production : palmeraie qui produit de l’huile de palme, transformé à son tour pour devenir du savon.
Selon lui, après cette journée porte ouverte, ils iront rendre compte au Président Faustin-Archange Touadéra qui accorde aussi une importance particulière au secteur agropastoral.
Le Représentant intérimaire de la FAO, Alain Constant, a pour sa part indiqué que le site du Mont Carmel a été confronté aux effets de la crise, notamment en décembre 2013, où il a eu à faire face à un afflux massif de populations en provenance du PK5 et des quartiers environnants (Cattin, Plateau, Boeing et Bimbo) en quête de protection.
« Les efforts des Pères Carmes pour parvenir à une solution durable aux déplacés a permis à de nombreux déplacés de regagner leurs familles d’origine ont trouvé un écho favorable au niveau international, notamment auprès de l’Alliance de la FAO des Prix Nobel pour la Paix et la Sécurité Alimentaire, créée par le Directeur-Général de la FAO et quatre Lauréats du Prix Nobel de la Paix (Oscar Arias, Muhamad Yunus, Tawakol Karman et Betty Williams), en mai 2016 », a-t-il poursuivi.
S’adressant aux bénéficiaires, le représentant de la FAO a fait savoir que cette formation n’est que la première étape d’un parcours professionnel qui fera d’eux de futurs agro-entrepreneurs et qu’il faudra encore travailler dur pour qu’ils puissent s’insérer dans le tissu économique du pays.
Il convient de rappeler que ce projet bénéficie du financement du gouvernement italien à hauteur de 2 millions de dollars américains.