Cette manifestation anti-gouvernementale, la plus importante à ce jour en Hongrie, a été organisée par des organisations civiles davantage que par des partis politiques.
La manifestation a eu lieu près de l'Opéra de Budapest, où le Premier ministre hongrois Viktor Orban, le président Pal Schmitt et d'autres dignitaires participaient à une cérémonie en l'honneur de la nouvelle charte.
La constitution, qui s'intitule dorénavant Loi Fondamentale, modifie le nom officiel du pays, qui devient simplement "Hongrie" au lieu de "République de Hongrie". La nouvelle constitution introduit aussi de nombreux changements qui affectent le système judiciaire, les tribunaux et les médias.
La Loi Fondamentale met aussi l'accent sur l'héritage chrétien de la Hongrie, s'engage à limiter la dette publique, et rehausse les droits des Hongrois installés à l'étranger.
La nouvelle constitution a été vivement critiquée par des opposants de tous bords, qui estiment qu'elle porte atteinte à la démocratie en Hongrie.
Les manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Ca suffit" et "Vive la République".
La manifestation a eu lieu près de l'Opéra de Budapest, où le Premier ministre hongrois Viktor Orban, le président Pal Schmitt et d'autres dignitaires participaient à une cérémonie en l'honneur de la nouvelle charte.
La constitution, qui s'intitule dorénavant Loi Fondamentale, modifie le nom officiel du pays, qui devient simplement "Hongrie" au lieu de "République de Hongrie". La nouvelle constitution introduit aussi de nombreux changements qui affectent le système judiciaire, les tribunaux et les médias.
La Loi Fondamentale met aussi l'accent sur l'héritage chrétien de la Hongrie, s'engage à limiter la dette publique, et rehausse les droits des Hongrois installés à l'étranger.
La nouvelle constitution a été vivement critiquée par des opposants de tous bords, qui estiment qu'elle porte atteinte à la démocratie en Hongrie.
Les manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Ca suffit" et "Vive la République".