L'Algérie qui préside le groupe africain en charge des questions liées aux changements climatiques veillera à l'organisation de cette conférence qui verra la participation d'environ 50 pays africains, plusieurs institutions africaines et onusiennes outre des représentants d'ONG nationales, africaines et internationales.
41 ministres africains de l'Environnement ont confirmé leur participation, ont souligné des représentants de la commission nationale en charge de la préparation de la conférence africaine sur les gaz à effet de serre, ajoutant que les autres pays seront représentés par des délégations présidées par les secrétaires généraux des ministères de l'Environnement.
Les travaux de la conférence africaine seront précédés, à partir du 16 novembre, par des réunions de représentants et d'experts de pays africains en vue d'échanger les points de vues et dégager une vision commune concernant le programme, l'agenda et la Déclaration d'Alger.
Plusieurs questions seront soumises à débat au cours de cette conférence, il s'agira notamment de l'examen du plan d'action de Bali dont le principal objectif est le soutien à la coopération internationale pour la réduction des effets des gaz nocifs, l'harmonisation de la terminologie, la définition d'approches sectorielles ainsi que le renforcement des capacités africaines.
41 ministres africains de l'Environnement ont confirmé leur participation, ont souligné des représentants de la commission nationale en charge de la préparation de la conférence africaine sur les gaz à effet de serre, ajoutant que les autres pays seront représentés par des délégations présidées par les secrétaires généraux des ministères de l'Environnement.
Les travaux de la conférence africaine seront précédés, à partir du 16 novembre, par des réunions de représentants et d'experts de pays africains en vue d'échanger les points de vues et dégager une vision commune concernant le programme, l'agenda et la Déclaration d'Alger.
Plusieurs questions seront soumises à débat au cours de cette conférence, il s'agira notamment de l'examen du plan d'action de Bali dont le principal objectif est le soutien à la coopération internationale pour la réduction des effets des gaz nocifs, l'harmonisation de la terminologie, la définition d'approches sectorielles ainsi que le renforcement des capacités africaines.