"Le bilan au moment où je vous parle est terrible, parce que nous avons sept corps, sept soldats décédés, un huitième qui est encore disparu et que nous recherchons à l'heure actuelle et nous avons, Dieu merci, deux rescapés", a déclaré M. Morin.
"Des plongeurs ont approché l'épave et recherche en ce moment le soldat disparu", a ajout é M. Morin dans une interview à sa sortie du palais présidentiel de Libreville.
Le patron du ministère français de la Défense n'a pas cependant été en mesure d'établir les causes de cet accident le plus grave de l'histoire de la présence des troupes françaises au Gabon depuis 1960.
M. Morin, arrivé à Libreville en milieu d'après-midi s'est rendu sur le lieu du drame, au large de la côte gabonaise où l' épave de l'hélicoptère a été retrouvée sur 35 m de profondeur.
Une double enquête administrative et judiciaire a été ouverte. Elle est menée par des gendarmes français résidant au Gabon et par un spécialiste d'accidents aériens déjà arrivé à Libreville, a affirmé le ministre français.
"Des plongeurs ont approché l'épave et recherche en ce moment le soldat disparu", a ajout é M. Morin dans une interview à sa sortie du palais présidentiel de Libreville.
Le patron du ministère français de la Défense n'a pas cependant été en mesure d'établir les causes de cet accident le plus grave de l'histoire de la présence des troupes françaises au Gabon depuis 1960.
M. Morin, arrivé à Libreville en milieu d'après-midi s'est rendu sur le lieu du drame, au large de la côte gabonaise où l' épave de l'hélicoptère a été retrouvée sur 35 m de profondeur.
Une double enquête administrative et judiciaire a été ouverte. Elle est menée par des gendarmes français résidant au Gabon et par un spécialiste d'accidents aériens déjà arrivé à Libreville, a affirmé le ministre français.