Financée par l’UNICEF, cette session de formation des magistrats s’achèvera mercredi 6 juillet 2011.
Le Ministre Firmin Feïndiro, conscient des contraintes auxquelles est confrontée la justice des mineurs en Centrafrique a demandé aux magistrats de se perfectionner à la fois « en connaissances théoriques et en connaissances pratiques durant ce séminaire ». Ceux-ci vont également s’inspirer de l’exemple de la France.
Pour la Représentante adjointe de l’UNICEF à Bangui, Christine Nare-Kabore, « la ratification des textes importants de protection de l’enfant par la Centrafrique a permis la création des huit tribunaux pour enfants en 2002 et l’extension de la compétence d’attribution en matière de juridiction pour mineurs là où les Tribunaux de Grande Instance ne sont pas encore érigés en tribunaux pour enfants ».
Poursuivant son exposé, elle a fait savoir que « l’enfant centrafricain suspecté, accusé ou reconnu coupable d’avoir commis un délit aura effectivement droit à un traitement qui favorise son sens de la valeur personnelle, qui tient compte de son âge et qui vise sa réintégration dans la société ».
Ce séminaire a mobilisé une cinquantaine de magistrats encadrés par une experte de la Coopération Française.
Soulignons que le Projet de Renforcement de l’Etat de Droit, appuyé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/PRED), s’engage à construire un centre de rééducation et de réinsertion des enfants en conflit avec la loi et de ceux en danger en Centrafrique.
Le Ministre Firmin Feïndiro, conscient des contraintes auxquelles est confrontée la justice des mineurs en Centrafrique a demandé aux magistrats de se perfectionner à la fois « en connaissances théoriques et en connaissances pratiques durant ce séminaire ». Ceux-ci vont également s’inspirer de l’exemple de la France.
Pour la Représentante adjointe de l’UNICEF à Bangui, Christine Nare-Kabore, « la ratification des textes importants de protection de l’enfant par la Centrafrique a permis la création des huit tribunaux pour enfants en 2002 et l’extension de la compétence d’attribution en matière de juridiction pour mineurs là où les Tribunaux de Grande Instance ne sont pas encore érigés en tribunaux pour enfants ».
Poursuivant son exposé, elle a fait savoir que « l’enfant centrafricain suspecté, accusé ou reconnu coupable d’avoir commis un délit aura effectivement droit à un traitement qui favorise son sens de la valeur personnelle, qui tient compte de son âge et qui vise sa réintégration dans la société ».
Ce séminaire a mobilisé une cinquantaine de magistrats encadrés par une experte de la Coopération Française.
Soulignons que le Projet de Renforcement de l’Etat de Droit, appuyé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/PRED), s’engage à construire un centre de rééducation et de réinsertion des enfants en conflit avec la loi et de ceux en danger en Centrafrique.