Le Général Ouayolo a cité entre autres la recommandation formulée par le groupe d’opérateurs à savoir, instaurer le contrôle du séjour de passage des étrangers dans les zones minières et les zones fauniques de la République Centrafricaine.
Le Conseiller a développé que cette recommandation à deux effets, car, elle va permettre de bien gérer la problématique des frontières de la République Centrafricaine et la gestion des ressources naturelles.
Bruno Ouayolo a souligné que la particularité de cette Table ronde est qu’elle a mobilisé toutes les couches sociales de la République Centrafricaine, les autres services de l’Etat qui interviennent directement et indirectement dans la sécurité, mais plus particulièrement de la sécurité humaine.
L’Officier Général a rappelé que cette Table ronde a été initiée depuis 2015, pour penser sur la manière dont la République Centrafricaine doit assurer sa sécurité, entre 2016-2021, il y a au moins cinq ans et il parait nécessaire de convoquer une nouvelle Table ronde sur la sécurité avec toute la composition administrative et sociétale de la RCA, afin d’actualiser la politique nationale de sécurité (PNS).
Il convient de signaler que durant les deux jours des travaux de la Table ronde sur la sécurité en Centrafrique qui a rassemblé plus de 100 participants, ils ont été entre autres édifiés sur le pourquoi d’une Table ronde sur la sécurité six ans après le forum de Bangui et le retour à l’ordre constitutionnel, le contexte général et le facteur d’influence sur la sécurité et surtout la sécurité : « une affaire de tous et pour tous ».
Le Conseiller a développé que cette recommandation à deux effets, car, elle va permettre de bien gérer la problématique des frontières de la République Centrafricaine et la gestion des ressources naturelles.
Bruno Ouayolo a souligné que la particularité de cette Table ronde est qu’elle a mobilisé toutes les couches sociales de la République Centrafricaine, les autres services de l’Etat qui interviennent directement et indirectement dans la sécurité, mais plus particulièrement de la sécurité humaine.
L’Officier Général a rappelé que cette Table ronde a été initiée depuis 2015, pour penser sur la manière dont la République Centrafricaine doit assurer sa sécurité, entre 2016-2021, il y a au moins cinq ans et il parait nécessaire de convoquer une nouvelle Table ronde sur la sécurité avec toute la composition administrative et sociétale de la RCA, afin d’actualiser la politique nationale de sécurité (PNS).
Il convient de signaler que durant les deux jours des travaux de la Table ronde sur la sécurité en Centrafrique qui a rassemblé plus de 100 participants, ils ont été entre autres édifiés sur le pourquoi d’une Table ronde sur la sécurité six ans après le forum de Bangui et le retour à l’ordre constitutionnel, le contexte général et le facteur d’influence sur la sécurité et surtout la sécurité : « une affaire de tous et pour tous ».