Le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, François Naouyama a précisé que les recommandations issues de vos travaux permettront à notre sous région de répondre à ses engagements devant la communauté internationale. « Elles seront pour ce qui est de la République Centrafricaine, mises en application le plus rapidement possible », a-t-il ajouté.
Selon le ministre Naouyama, le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie s’engagera à surveiller la consommation et l’importation des SAO dans le pays, communiquer aux différents secrétariats les données requises chaque année, organiser des formations et mettre en place des programmes d’information et de sensibilisation à l’endroit du public sur les risques d’appauvrissement de la couche d’ozone, assister et aider à mettre en place le règlement nécessaire aux importations et à l’utilisation des SAO.
Pour cela, a conclu le ministre Naouyama, « le raffermissement des liens entre le ministère de l’Environnement, et l’administration de la Douane, le ministère en charge du Commerce ainsi que tous les départements concernés sera inscrit en bonne place dans les actions prioritaires de mon département ».
Le Coordonnateur principal du Programme régional d’assistance à la conformité du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PUNE), en Afrique, Jérémy Bazyé, saluant les conclusions des travaux, a déclaré que « les participants se sont résolus à renforcer la coopération entre les administrations des douanes et les unités nationales ozone dans leurs pays respectifs en vue de rendre effectif le contrôle des importations des Sao, qui en contiennent.
Les participants à cette rencontre sont des responsables des bureaux ozone et des agents de douane des pays de la CEMAC élargis au Burundi, aux Îles Comores, Djibouti et Madagascar. Il y a aussi les représentants du programme des Nations Unies pour l’Environnement, du Fonds Français pour l’Environnement, de l’ONUDI et des Institutions de mise en œuvre.
Il sied de rappeler que l’objectif de cet atelier, est l’analyse de l’état de mise en œuvre du Protocole de Montréal et la mise en œuvre de la réglementation de la Communauté Economique de l’Afrique Centrale (CEMAC) sur le contrôle des substances appauvrissant la couche d’ozone.
Aussi, l’organisation de cette réunion de Bangui, détermine l’engagement de la République Centrafricaine pour la protection de l’environnement aux niveaux national et planétaire et d’autre part, sa ferme volonté d’affronter les problèmes environnementaux avec le peu de moyen dont elle dispose.
Selon le ministre Naouyama, le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie s’engagera à surveiller la consommation et l’importation des SAO dans le pays, communiquer aux différents secrétariats les données requises chaque année, organiser des formations et mettre en place des programmes d’information et de sensibilisation à l’endroit du public sur les risques d’appauvrissement de la couche d’ozone, assister et aider à mettre en place le règlement nécessaire aux importations et à l’utilisation des SAO.
Pour cela, a conclu le ministre Naouyama, « le raffermissement des liens entre le ministère de l’Environnement, et l’administration de la Douane, le ministère en charge du Commerce ainsi que tous les départements concernés sera inscrit en bonne place dans les actions prioritaires de mon département ».
Le Coordonnateur principal du Programme régional d’assistance à la conformité du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PUNE), en Afrique, Jérémy Bazyé, saluant les conclusions des travaux, a déclaré que « les participants se sont résolus à renforcer la coopération entre les administrations des douanes et les unités nationales ozone dans leurs pays respectifs en vue de rendre effectif le contrôle des importations des Sao, qui en contiennent.
Les participants à cette rencontre sont des responsables des bureaux ozone et des agents de douane des pays de la CEMAC élargis au Burundi, aux Îles Comores, Djibouti et Madagascar. Il y a aussi les représentants du programme des Nations Unies pour l’Environnement, du Fonds Français pour l’Environnement, de l’ONUDI et des Institutions de mise en œuvre.
Il sied de rappeler que l’objectif de cet atelier, est l’analyse de l’état de mise en œuvre du Protocole de Montréal et la mise en œuvre de la réglementation de la Communauté Economique de l’Afrique Centrale (CEMAC) sur le contrôle des substances appauvrissant la couche d’ozone.
Aussi, l’organisation de cette réunion de Bangui, détermine l’engagement de la République Centrafricaine pour la protection de l’environnement aux niveaux national et planétaire et d’autre part, sa ferme volonté d’affronter les problèmes environnementaux avec le peu de moyen dont elle dispose.