honorable Anne Marie Goumba, député de 5e II, Bangui (Ph. Debato/Acap)
Dans son discours de clôture, le président de l’Assemblée nationale, M. Célestin Leroy Gaombalet, s’est réjoui de l’adoption par les députés des projets de loi relatifs à l’organisation du Conseil économique et social et à la ratification des conventions internationales portant interdiction des armes chimiques et portant statuts du Fonds africain de garantie de coopération économique (Fagace).
M. Gaombalet est également revenu sur la rencontre la semaine dernière du président de la République, François Bozizé, avec les forces vives de la nation sur la question de l’insécurité en République Centrafricaine, félicitant le chef de l’Etat d’avoir apporté un démenti cinglant à ceux qui lui reproche un exercice solitaire du pouvoir.
Il a qualifié « d’incompréhensible » la position des personnalités qui font de la participation des groupes rebelles opérant sur le territoire national un préalable au dialogue politique.
« Je pense au contraire que dans la situation actuelle, tous les démocrates devraient, à l’unisson, exiger des groupes rebelles qu’ils déposent immédiatement les armes. Ce n’est qu’ensuite qu’on pourrait envisager de discuter avec eux », a souligné la président de l’Assemblée nationale.
Selon lui, vouloir à tout prix intégrer les représentants de la rébellion dans le processus du dialogue politique serait « s’engager dans un engrenage dangereux pour l’avenir de notre démocratie » car, a-t-il expliqué, « le dialogue politique ne peut être que l’affaire des acteurs reconnus » et « doit être également conduit dans l’esprit du Dialogue National et dans le strict respect de la Constitution de la République ».
M. Gaombalet est également revenu sur la rencontre la semaine dernière du président de la République, François Bozizé, avec les forces vives de la nation sur la question de l’insécurité en République Centrafricaine, félicitant le chef de l’Etat d’avoir apporté un démenti cinglant à ceux qui lui reproche un exercice solitaire du pouvoir.
Il a qualifié « d’incompréhensible » la position des personnalités qui font de la participation des groupes rebelles opérant sur le territoire national un préalable au dialogue politique.
« Je pense au contraire que dans la situation actuelle, tous les démocrates devraient, à l’unisson, exiger des groupes rebelles qu’ils déposent immédiatement les armes. Ce n’est qu’ensuite qu’on pourrait envisager de discuter avec eux », a souligné la président de l’Assemblée nationale.
Selon lui, vouloir à tout prix intégrer les représentants de la rébellion dans le processus du dialogue politique serait « s’engager dans un engrenage dangereux pour l’avenir de notre démocratie » car, a-t-il expliqué, « le dialogue politique ne peut être que l’affaire des acteurs reconnus » et « doit être également conduit dans l’esprit du Dialogue National et dans le strict respect de la Constitution de la République ».