
Selon le Secrétaire Général de la commission nationale des droits des enfants, Elie-Chancy Deta, « pour qu’il soit connu de tous, il faut que ce texte de lois internationales soit traduit en Sango ».
« La Convention des Droits des Enfants est un document important », a déclaré M .Elie-Chancy Deta.
« La convention interdit l’enrôlement de l’enfant dans l’armée », a fait remarquer M. Laurent Bembila chef de service de travail à l’Inspection Générale du travail, tout en précisant qu’une convention à caractère international, est intégrée dans les textes constitutionnels de notre pays.
« L’État centrafricain a le droit en tant que garant de la protection de poursuivre tout groupe rebelle qui utilise les enfants à des fins de la guerre’, a conclu M. Bembila.
M. Thierry Zeneth l’un des participants à cet atelier, a quant à lui reconnu que « cette révision de la convention des droits des enfants a été un moyen pour lui, de valoir les droits des enfants en Sango ».
Rappelons que cet atelier a été organisé par le ministère des Affaires Sociales en partenariat avec la Fondation des Enfants d’Abord et le réseau des journalistes œuvrant en faveur de l’enfant avec l’appui financier du Fonds des Nations-Unies pour l’Enfance (UNICEF).
« La Convention des Droits des Enfants est un document important », a déclaré M .Elie-Chancy Deta.
« La convention interdit l’enrôlement de l’enfant dans l’armée », a fait remarquer M. Laurent Bembila chef de service de travail à l’Inspection Générale du travail, tout en précisant qu’une convention à caractère international, est intégrée dans les textes constitutionnels de notre pays.
« L’État centrafricain a le droit en tant que garant de la protection de poursuivre tout groupe rebelle qui utilise les enfants à des fins de la guerre’, a conclu M. Bembila.
M. Thierry Zeneth l’un des participants à cet atelier, a quant à lui reconnu que « cette révision de la convention des droits des enfants a été un moyen pour lui, de valoir les droits des enfants en Sango ».
Rappelons que cet atelier a été organisé par le ministère des Affaires Sociales en partenariat avec la Fondation des Enfants d’Abord et le réseau des journalistes œuvrant en faveur de l’enfant avec l’appui financier du Fonds des Nations-Unies pour l’Enfance (UNICEF).