A l'issue de leurs travaux, les responsables des différents départements ministériels qui y ont participé ont notamment recommandé l’allègement des pièces à fournir dans les formalités de création d’entreprise, notamment, les actes uniformes relatifs au droit commercial général et aux sociétés commerciales, le renforcement des services délocalisés et l’adoption du système plus efficace de classement et d’archivage des pièces au niveau des services de coordination.
« Le climat des affaires en République Centrafricaine est très défavorable », a déploré M. Gilbert Kogrengbo, qui s'est référé au dernier rapport du Doing business sur l'évaluation de l’environnement des affaires, publié au mois de septembre 2009, qui classe la République Centrafricaine à la dernière place.
« Nous devons prendre notre responsabilité, en nous engageant résolument pour la relecture des textes relatifs à la création des entreprises en Centrafrique, en vue de créer un environnement plus favorable au secteur privé, moteur de développement et pourvoyeur d’emplois », a-t-il souligné en conséquence.
« Nous avions une vision par rapport à la place de la RCA, mais pour y parvenir, nous avons besoin du concours de tout le monde, aujourd’hui nous sommes réunis avec les responsables des autres départements ministériels pour qu’ensemble nous puissions identifier les problèmes et trouver des solutions pour améliorer les textes, donc, avec la volonté politique, on pourra y arriver », a conclu M. Kogrengbo.
Il faut rappeler que cet atelier de relecture, organisé par le ministère de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises, avait pour objectif d’initier les textes législatifs et réglementaires des textes devant régir, gérer et promouvoir les Petites et Moyennes Entreprises puis aider à la résorption graduelle dusecteurinformel.
« Le climat des affaires en République Centrafricaine est très défavorable », a déploré M. Gilbert Kogrengbo, qui s'est référé au dernier rapport du Doing business sur l'évaluation de l’environnement des affaires, publié au mois de septembre 2009, qui classe la République Centrafricaine à la dernière place.
« Nous devons prendre notre responsabilité, en nous engageant résolument pour la relecture des textes relatifs à la création des entreprises en Centrafrique, en vue de créer un environnement plus favorable au secteur privé, moteur de développement et pourvoyeur d’emplois », a-t-il souligné en conséquence.
« Nous avions une vision par rapport à la place de la RCA, mais pour y parvenir, nous avons besoin du concours de tout le monde, aujourd’hui nous sommes réunis avec les responsables des autres départements ministériels pour qu’ensemble nous puissions identifier les problèmes et trouver des solutions pour améliorer les textes, donc, avec la volonté politique, on pourra y arriver », a conclu M. Kogrengbo.
Il faut rappeler que cet atelier de relecture, organisé par le ministère de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises, avait pour objectif d’initier les textes législatifs et réglementaires des textes devant régir, gérer et promouvoir les Petites et Moyennes Entreprises puis aider à la résorption graduelle dusecteurinformel.