POLITIQUE
une vue des participants au séminaire sur le PTA de l'environnement (photo Bada/Acap)
« la République Centrafricaine est confrontée à des problèmes multiformes de dégradation de l’environnement, des signaux perceptibles indiquent l’ampleur de la situation. », a déclaré M. Naouéyama, au terme de cet atelier.
C'est pourquoi la Centrafrique s’est engagée à les aborder dans un cadre global et intégré, des stratégies et des plans ont été conçus pour faire intégrer le PTA dans la deuxième génération du Document de Stratégie de la Réduction de la Pauvreté (DSRP), a-t-il expliqué.
Il a exprimé le souhait que toutes les questions évoquées soient minutieusement discutées au sein du comité technique permanent du DSRP afin que la deuxième génération de ce document puisse trancher la première sur toutes questions qui concernent l’environnement.
L’une des participante à cet atelier, Mme Blandine Gahoro, a déclaré qu’au cours de ces assises, les participants se sont rendu compte des problèmes d’ordre environnemental qui se posent et que la population méconnait.
Il faut en conséquence beaucoup plus de sensibilisation afin de l’édifier sur le danger que court la République Centrafricaine, particulièrement sur l’utilisation d'emballages en matière plastique, lesquels constituent des déchets ménagers nocifs pour la santé de l’homme et pour son environnement.
Elle aussi a donné comme exemple le problème des réfugiés qui fait partie intégrante de l’environnement en raison de la pression que leur présence exerce sur l’agriculture en rendant le sol infertile.
C'est pourquoi la Centrafrique s’est engagée à les aborder dans un cadre global et intégré, des stratégies et des plans ont été conçus pour faire intégrer le PTA dans la deuxième génération du Document de Stratégie de la Réduction de la Pauvreté (DSRP), a-t-il expliqué.
Il a exprimé le souhait que toutes les questions évoquées soient minutieusement discutées au sein du comité technique permanent du DSRP afin que la deuxième génération de ce document puisse trancher la première sur toutes questions qui concernent l’environnement.
L’une des participante à cet atelier, Mme Blandine Gahoro, a déclaré qu’au cours de ces assises, les participants se sont rendu compte des problèmes d’ordre environnemental qui se posent et que la population méconnait.
Il faut en conséquence beaucoup plus de sensibilisation afin de l’édifier sur le danger que court la République Centrafricaine, particulièrement sur l’utilisation d'emballages en matière plastique, lesquels constituent des déchets ménagers nocifs pour la santé de l’homme et pour son environnement.
Elle aussi a donné comme exemple le problème des réfugiés qui fait partie intégrante de l’environnement en raison de la pression que leur présence exerce sur l’agriculture en rendant le sol infertile.
