De manière générale, il est ressorti de l’état des lieux les détournements des deniers publics, l’enrichissement illicite, les fraudes fiscales et douanières ; la faible compétence des personnels à certains postes ; l’absence d’interconnexion fiable et à haut débit entre les entités du Ministère des Finances et du budget ; des modules manquants à certaines applications, comme Sydonia++, systemif, logestif, gesco et autres.
Sur d’autres plans, les faiblesses relevées concernent l’inobservation des textes et des sanctions, la méconnaissance du processus de l’élaboration du budget, les difficultés de passations des marchés, le manque de coordination des structures impliquées dans le processus d’endettement ; la faible mise en valeurs des ressources naturelles, la non maîtrise du secteur informel et bien d’autres faiblesses au niveau des recettes publiques.
Pour faire table rase de tous ces maux identifiés, les participants aux premiers états généraux des finances publiques de la République Centrafricaine ont formulé des recommandations dans presque tous les domaines.
Il s’agit, entre autres, des conditions adéquates pour la préparation et l’exécution du budget, la gestion des soldes, pensions et marchés publics, la formation du personnel et la révision des conditions de recrutement au Ministère des Finances et du budget ; l’informatisation des finances publiques en veillant à renforcer les applications comme Sydonia++, systemif, logestif, gesco et autres ; la création d’une base des données des textes juridiques sur la fraude et la corruption et les vulgariser, démanteler les barrières illégales qui concourent au racket des opérateurs économiques.
Poursuivant la batterie des recommandations, les participants ont proposé que les responsables du département des Finances publiques veillent sur la non accumulation de nouveaux arriérés intérieurs, révisent le circuit de paiement de service de la dette ; identifient les nouveaux contribuables, comptabilisent les ressources non-identifiées er renforcent les contrôles.
Il a été préconisé également d’améliorer les textes organiques du département des finances tout en veillant au respect du cadre juridique des marchés publics et à la mobilisation des acteurs intervenant dans le processus d’élaboration du budget.
En matière de recettes publiques, des indications précises ont été formulées à propos des revenus du domaine mobilier et immobilier ; des Eaux, forêts, chasses et pêches ; du tourisme et de l’Artisanat ; des mines ; du Fonds routier ; des taxes d’intégrations ; du fonds de développement agricole et pastoral ; du fonds d’aménagement et équipement urbains ; de ressources de l’Agence de stabilisation et de régulation des prix des produits pétroliers, etc.
Certains départements ont été identifiés comme étant générateurs de revenus. Ce sont : la Communication, les finances publiques, la fonction Publique, l’Education nationale, l’Enseignement supérieur, les postes et télécommunications, la défense nationale ; l’intérieur, la Justice, la santé, le, commerce, le guichet unique et les mines.
Il convient de rappeler que sept groupes thématiques avaient été mis en place pour mener des analyses approfondies à propos de chaque embranchement des finances publiques. Il s’agit de la gestion budgétaire et les dépenses publiques ; la dette publique, les recettes publiques ; les ressources humaines et matérielles des finances publiques ; la lutte contre la fraude et la corruption ; l’informatisation des finances publiques et le cadre juridique et institutionnel des finances publiques.
Pour mémoire, l’objectif assigné à ces premiers états généraux des finances publiques de la République Centrafricaine était d’identifier les maux qui gangrènent les finances publiques et en retour proposer des solutions idoines nécessaires à rendre performantes les finances publiques centrafricaines.
Sur d’autres plans, les faiblesses relevées concernent l’inobservation des textes et des sanctions, la méconnaissance du processus de l’élaboration du budget, les difficultés de passations des marchés, le manque de coordination des structures impliquées dans le processus d’endettement ; la faible mise en valeurs des ressources naturelles, la non maîtrise du secteur informel et bien d’autres faiblesses au niveau des recettes publiques.
Pour faire table rase de tous ces maux identifiés, les participants aux premiers états généraux des finances publiques de la République Centrafricaine ont formulé des recommandations dans presque tous les domaines.
Il s’agit, entre autres, des conditions adéquates pour la préparation et l’exécution du budget, la gestion des soldes, pensions et marchés publics, la formation du personnel et la révision des conditions de recrutement au Ministère des Finances et du budget ; l’informatisation des finances publiques en veillant à renforcer les applications comme Sydonia++, systemif, logestif, gesco et autres ; la création d’une base des données des textes juridiques sur la fraude et la corruption et les vulgariser, démanteler les barrières illégales qui concourent au racket des opérateurs économiques.
Poursuivant la batterie des recommandations, les participants ont proposé que les responsables du département des Finances publiques veillent sur la non accumulation de nouveaux arriérés intérieurs, révisent le circuit de paiement de service de la dette ; identifient les nouveaux contribuables, comptabilisent les ressources non-identifiées er renforcent les contrôles.
Il a été préconisé également d’améliorer les textes organiques du département des finances tout en veillant au respect du cadre juridique des marchés publics et à la mobilisation des acteurs intervenant dans le processus d’élaboration du budget.
En matière de recettes publiques, des indications précises ont été formulées à propos des revenus du domaine mobilier et immobilier ; des Eaux, forêts, chasses et pêches ; du tourisme et de l’Artisanat ; des mines ; du Fonds routier ; des taxes d’intégrations ; du fonds de développement agricole et pastoral ; du fonds d’aménagement et équipement urbains ; de ressources de l’Agence de stabilisation et de régulation des prix des produits pétroliers, etc.
Certains départements ont été identifiés comme étant générateurs de revenus. Ce sont : la Communication, les finances publiques, la fonction Publique, l’Education nationale, l’Enseignement supérieur, les postes et télécommunications, la défense nationale ; l’intérieur, la Justice, la santé, le, commerce, le guichet unique et les mines.
Il convient de rappeler que sept groupes thématiques avaient été mis en place pour mener des analyses approfondies à propos de chaque embranchement des finances publiques. Il s’agit de la gestion budgétaire et les dépenses publiques ; la dette publique, les recettes publiques ; les ressources humaines et matérielles des finances publiques ; la lutte contre la fraude et la corruption ; l’informatisation des finances publiques et le cadre juridique et institutionnel des finances publiques.
Pour mémoire, l’objectif assigné à ces premiers états généraux des finances publiques de la République Centrafricaine était d’identifier les maux qui gangrènent les finances publiques et en retour proposer des solutions idoines nécessaires à rendre performantes les finances publiques centrafricaines.