L’objectif de cet atelier est d’outiller le Procureur de la République, le Doyen des juges, les représentants du Ministère de l’Intérieur, les cadres et agents de la Banque centrale, les caissiers et trésorières du Trésor public, des banques primaires et des établissements de microfinance afin qu’ils fassent la nette différence entre les vrais et les faux billets qui sont en circulation.
De l’avis du Directeur Eric Goro, « toute monnaie attire la fausse monnaie et le phénomène entraine généralement une perte financière immédiate pour les particuliers qui les reçoivent et a des conséquences très graves sur le plan monétaire et économique ».
Il a aussi fait savoir que « le faux-monnayage a parfois été utilisé par certains pays comme une arme économique pour affaiblir des pays ennemis, ou que certains services secrets fassent fabriquer des billets des autres pays, non pas pour déstabiliser la monnaie, mais pour financer une action subversive ».
Pour contrer le contre le faux-monnayage, Eric Goro a préconisé cinq piliers qui sont : la nécessité d’un produit sécurité, les actions de prévention, le contrôle du processus de recyclage des billets, la gestion des contrefaçons réactif et une centralisation des traitements, enfin, l’action des forces de police et de la gendarmerie.
Derrière cet aréopage de mesures, le Directeur de l’Emission Monétaire et de la Circulation Fiduciaire croit que la protection des billets repose dès leur conception sur une gamme de sécurité de haute technologie destinée à les prémunir contre la contrefaçon, même s’il existe une course permanente entre les concepteurs des billets, qui incluent de nouveaux signes, et les faux-monnayeurs de billets qui essaient d’imiter les signes.
Il a relevé que « la technologie pour faire fabriquer les billets par la Banque de France qui dispose d’une des meilleures usines au monde est très complexe et que les mesures de sécurité doivent être exceptionnelles ».
Il a également instruit les caissiers de ne pas remettre en circulation des billets versés à leurs guichets mais plutôt de les transmettre à la Banque centrale qui se charge d’authentifier leur qualité avant leur remise en circulation.
Eric Goro a mis en garde les contrefacteurs puisque, à l’instar des autres pays, le Code pénal centrafricain réprime la fausse monnaie et la contrefaçon comme étant un crime. Ceux qui sont concernés par cette sanction sont ceux qui fabriquent, détiennent ou utiliser les fausses monnaies.
Il est à noter que deux experts de la Banque de France, Eric Pézin et Edgard Nin, participent aux travaux.
Aussi, c’est la première fois que la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) a organisé une telle formation en République Centrafricaine, surtout avec la particularité de l’ouvrir à des personnes extérieures à la banque.
De l’avis du Directeur Eric Goro, « toute monnaie attire la fausse monnaie et le phénomène entraine généralement une perte financière immédiate pour les particuliers qui les reçoivent et a des conséquences très graves sur le plan monétaire et économique ».
Il a aussi fait savoir que « le faux-monnayage a parfois été utilisé par certains pays comme une arme économique pour affaiblir des pays ennemis, ou que certains services secrets fassent fabriquer des billets des autres pays, non pas pour déstabiliser la monnaie, mais pour financer une action subversive ».
Pour contrer le contre le faux-monnayage, Eric Goro a préconisé cinq piliers qui sont : la nécessité d’un produit sécurité, les actions de prévention, le contrôle du processus de recyclage des billets, la gestion des contrefaçons réactif et une centralisation des traitements, enfin, l’action des forces de police et de la gendarmerie.
Derrière cet aréopage de mesures, le Directeur de l’Emission Monétaire et de la Circulation Fiduciaire croit que la protection des billets repose dès leur conception sur une gamme de sécurité de haute technologie destinée à les prémunir contre la contrefaçon, même s’il existe une course permanente entre les concepteurs des billets, qui incluent de nouveaux signes, et les faux-monnayeurs de billets qui essaient d’imiter les signes.
Il a relevé que « la technologie pour faire fabriquer les billets par la Banque de France qui dispose d’une des meilleures usines au monde est très complexe et que les mesures de sécurité doivent être exceptionnelles ».
Il a également instruit les caissiers de ne pas remettre en circulation des billets versés à leurs guichets mais plutôt de les transmettre à la Banque centrale qui se charge d’authentifier leur qualité avant leur remise en circulation.
Eric Goro a mis en garde les contrefacteurs puisque, à l’instar des autres pays, le Code pénal centrafricain réprime la fausse monnaie et la contrefaçon comme étant un crime. Ceux qui sont concernés par cette sanction sont ceux qui fabriquent, détiennent ou utiliser les fausses monnaies.
Il est à noter que deux experts de la Banque de France, Eric Pézin et Edgard Nin, participent aux travaux.
Aussi, c’est la première fois que la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) a organisé une telle formation en République Centrafricaine, surtout avec la particularité de l’ouvrir à des personnes extérieures à la banque.