POLITIQUE
La rencontre est organisée par le Réseau des institutons nationales africaines des droits de l'homme (RINADH) en partenariat avec le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, l'Institut danois des droits de l'homme et l'Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Les débats prévus pour deux jours portent sur les compétences des institutions nationales, leurs activités, leurs besoins en ressources humaines et matérielles, leurs relations avec les autorités publiques, les organes législatifs et leur interaction avec le système onusien des droits de l'homme.
S'adressant aux participants, le ministre d'Etat togolais en charge de l'Industrie, de l'Artisanat et des Innovations technologiques, Léopold Gnininvi, a indiqué que les droits de l'homme sont devenus le principe de base des systèmes de gouvernement africains, et que ce principe est bien exprimé dans l'Acte constitutif de l'Union Africaine.
Il a cependant déploré que les institutions nationales en Afrique sont souvent associées à l'image dégradante d'institutions qui sont mises en place non pas pour promouvoir et défendre les droits de l'homme, mais pour conjurer les critiques contre les gouvernement en mal de légitimité et soucieux de s'attirer les bonnes grâces de la communauté internationale.
Selon le ministre d'Etat togolais, les Etats ont le devoir d'oeuvrer avec sincérité pour faire des institutions natonales des droits de l'homme de réels acteurs de changement.
Les débats prévus pour deux jours portent sur les compétences des institutions nationales, leurs activités, leurs besoins en ressources humaines et matérielles, leurs relations avec les autorités publiques, les organes législatifs et leur interaction avec le système onusien des droits de l'homme.
S'adressant aux participants, le ministre d'Etat togolais en charge de l'Industrie, de l'Artisanat et des Innovations technologiques, Léopold Gnininvi, a indiqué que les droits de l'homme sont devenus le principe de base des systèmes de gouvernement africains, et que ce principe est bien exprimé dans l'Acte constitutif de l'Union Africaine.
Il a cependant déploré que les institutions nationales en Afrique sont souvent associées à l'image dégradante d'institutions qui sont mises en place non pas pour promouvoir et défendre les droits de l'homme, mais pour conjurer les critiques contre les gouvernement en mal de légitimité et soucieux de s'attirer les bonnes grâces de la communauté internationale.
Selon le ministre d'Etat togolais, les Etats ont le devoir d'oeuvrer avec sincérité pour faire des institutions natonales des droits de l'homme de réels acteurs de changement.
