Dans cette commission Paix et Sécurité, les participants ont formulé 40 recommandations entre autres, dénoncer tous les accords coloniaux et ceux qui ont été signés après l’indépendance, qui ne sont plus adaptés à la réalité de la République Centrafricaine, faire la différence entre les éleveurs musulmans/peulhs centrafricains transhumants et les éleveurs peulhs étrangers.
« Lutter contre les rebellions à répétition en nouant et réactivant des accords militaires bilatéraux avec les pays limitrophes, demander la levée totale de l’embargo sur les armes pour la défense et la protection du peuple et du territoire centrafricain, octroyer un budget conséquence aux forces de défense et de sécurité, et accélérer la mise en place de l’armée de garnison », ont poursuivi les participants.
Poursuivant, les participants ont demandé l’encadrement et l’amélioration des services de renseignements civils et militaires, de faire cesser les discriminations envers les minorités dans l’administration et la délivrance des documents, démanteler toutes les barrières et postes de contrôle illégaux, et encourager et soutenir le retour des réfugiés et déplacés dans leurs lieux de vie d’origine ; enfin faciliter l’accès aux informations sur toute l’étendue du territoire pour stopper les rumeurs.
S’agissant de la Commission 2 « Gouvernance politique et Etat de Droit, Renforcement démocratique et Institutionnel », six sous-thèmes ont été développés à savoir gouvernance politique, démocratique et électorale ; justice, lutte contre l’impunité, la corruption et les infractions assimilées ; le respect des droits de l’Homme ; décentralisation et développement local ; évaluation, réforme et renforcement des institutions républicaines et justice transitionnelle.
En développant le sous thème sur la justice, lutte contre l’impunité, la corruption et les infractions assimilées, le magistrat Said Panguindji, a entre autres recommandé la création d’une juridiction spéciale pour lutter contre les crimes économiques, l’adoption d’une loi spéciale contre la corruption et la révision du code pénal et du code de procédure pénale pour les adapter aux sujets d’actualité.
Saïd Panguindji a attiré l’attention des participants sur la nécessité de procéder à une révision de la carte judiciaire et à un renforcement de la formation des acteurs judiciaires afin de rendre la justice accessible aux citoyens.
Il convient de signaler que les comptes rendus des travaux de toutes les commissions se déroulent en plénière et suivis des débats.
« Lutter contre les rebellions à répétition en nouant et réactivant des accords militaires bilatéraux avec les pays limitrophes, demander la levée totale de l’embargo sur les armes pour la défense et la protection du peuple et du territoire centrafricain, octroyer un budget conséquence aux forces de défense et de sécurité, et accélérer la mise en place de l’armée de garnison », ont poursuivi les participants.
Poursuivant, les participants ont demandé l’encadrement et l’amélioration des services de renseignements civils et militaires, de faire cesser les discriminations envers les minorités dans l’administration et la délivrance des documents, démanteler toutes les barrières et postes de contrôle illégaux, et encourager et soutenir le retour des réfugiés et déplacés dans leurs lieux de vie d’origine ; enfin faciliter l’accès aux informations sur toute l’étendue du territoire pour stopper les rumeurs.
S’agissant de la Commission 2 « Gouvernance politique et Etat de Droit, Renforcement démocratique et Institutionnel », six sous-thèmes ont été développés à savoir gouvernance politique, démocratique et électorale ; justice, lutte contre l’impunité, la corruption et les infractions assimilées ; le respect des droits de l’Homme ; décentralisation et développement local ; évaluation, réforme et renforcement des institutions républicaines et justice transitionnelle.
En développant le sous thème sur la justice, lutte contre l’impunité, la corruption et les infractions assimilées, le magistrat Said Panguindji, a entre autres recommandé la création d’une juridiction spéciale pour lutter contre les crimes économiques, l’adoption d’une loi spéciale contre la corruption et la révision du code pénal et du code de procédure pénale pour les adapter aux sujets d’actualité.
Saïd Panguindji a attiré l’attention des participants sur la nécessité de procéder à une révision de la carte judiciaire et à un renforcement de la formation des acteurs judiciaires afin de rendre la justice accessible aux citoyens.
Il convient de signaler que les comptes rendus des travaux de toutes les commissions se déroulent en plénière et suivis des débats.