Selon Laurent Gomina Pampali, les causes endogènes sont les querelles, le tribalisme, la discrimination, la transhumance qui finissent souvent par un mécontentement de la population et qui déclenchent des situations des violences et surtout de la philosophie d'un "Etat post colonial".
« Les causes exogènes viennent de nos voisins frontaliers, jaloux de nos richesses qui envoient régulièrement des groupes armés pour soutenir les mouvements de rébellion en Centrafrique. A cela s’ajoute les influences occidentales qui voudraient maintenir la République Centrafrique sous leur joug », a poursuivi l’intervenant.
Il a souligné que plusieurs tentatives de résolution ont été prises par le gouvernement pour atténuer ces crises en commençant par le Séminaire National de Réflexion en 1980, la Conférence de Réconciliation Nationale en 1998 et les dialogues de Libreville et de Bangui avec l’ancien Président François Bozizé.
Laurent Gomina Pampali a déploré que tous ces accords dans le passé n’ont pas abordé les vraies questions de la République Centrafricaine. Il souhaite à ce que ce présent dialogue trouve des solutions définitives mais aussi des solutions radicales pour changer la situation de notre nation.
Gomina Pampali a interpellé tous les compatriotes à sauver la République Centrafricaine qui est un Etat post-colonial qui a une souveraineté inexacte, toujours perturbé par nos ennemis.
Dr Amadou Zarno Dahirou, l’un des participants, représentant de la minorité Peul de la Mambéré-Kadéï, a évoqué que la question de la transhumance doit être résolue pour réduire la fluidité au déplacement des malfaiteurs.
Il a recommandé au gouvernement d’accompagner les éleveurs à se sédentariser pour atténuer l’impact des crises causées par ce secteur et avoir des coopérations bilatérales avec les pays voisins, afin de stopper les flux des éleveurs migrants en Centrafrique.
Signalons que des thématiques ont été débattues dans d’autres commissions du dialogue républicain, tel est le cas de la thématique sur la politique étrangère et la coopération internationale.
Selon Africain Kazangba, l’un des participants dans cette commission, le thème sur les états des lieux, enjeux et défis de la politique étrangère à la lumière des différents instruments de coopération, présenté par le conseiller diplomatique Dieudonné Kombo Yaya, a expliqué qu’il y a des difficultés d’ordre institutionnel et infrastructurel dans presque tous nos ambassades et consulats.
Il a souhaité qu’à l’issue de ce dialogue républicain, des recommandations relatives à l’amélioration futures des représentations diplomatiques centrafricaines soient arrêtées et prisent en compte.
Il est à noter que les débats au tour de la paix et sécurité se sont poursuivis pendant deux jours afin de formuler des recommandations à la plénière de jeudi.
« Les causes exogènes viennent de nos voisins frontaliers, jaloux de nos richesses qui envoient régulièrement des groupes armés pour soutenir les mouvements de rébellion en Centrafrique. A cela s’ajoute les influences occidentales qui voudraient maintenir la République Centrafrique sous leur joug », a poursuivi l’intervenant.
Il a souligné que plusieurs tentatives de résolution ont été prises par le gouvernement pour atténuer ces crises en commençant par le Séminaire National de Réflexion en 1980, la Conférence de Réconciliation Nationale en 1998 et les dialogues de Libreville et de Bangui avec l’ancien Président François Bozizé.
Laurent Gomina Pampali a déploré que tous ces accords dans le passé n’ont pas abordé les vraies questions de la République Centrafricaine. Il souhaite à ce que ce présent dialogue trouve des solutions définitives mais aussi des solutions radicales pour changer la situation de notre nation.
Gomina Pampali a interpellé tous les compatriotes à sauver la République Centrafricaine qui est un Etat post-colonial qui a une souveraineté inexacte, toujours perturbé par nos ennemis.
Dr Amadou Zarno Dahirou, l’un des participants, représentant de la minorité Peul de la Mambéré-Kadéï, a évoqué que la question de la transhumance doit être résolue pour réduire la fluidité au déplacement des malfaiteurs.
Il a recommandé au gouvernement d’accompagner les éleveurs à se sédentariser pour atténuer l’impact des crises causées par ce secteur et avoir des coopérations bilatérales avec les pays voisins, afin de stopper les flux des éleveurs migrants en Centrafrique.
Signalons que des thématiques ont été débattues dans d’autres commissions du dialogue républicain, tel est le cas de la thématique sur la politique étrangère et la coopération internationale.
Selon Africain Kazangba, l’un des participants dans cette commission, le thème sur les états des lieux, enjeux et défis de la politique étrangère à la lumière des différents instruments de coopération, présenté par le conseiller diplomatique Dieudonné Kombo Yaya, a expliqué qu’il y a des difficultés d’ordre institutionnel et infrastructurel dans presque tous nos ambassades et consulats.
Il a souhaité qu’à l’issue de ce dialogue républicain, des recommandations relatives à l’amélioration futures des représentations diplomatiques centrafricaines soient arrêtées et prisent en compte.
Il est à noter que les débats au tour de la paix et sécurité se sont poursuivis pendant deux jours afin de formuler des recommandations à la plénière de jeudi.