Prévue du 28 janvier au 1er février 2008, le séminaire regroupe trente participants et a pour objectif de renforcer les capacités des chefs d’entreprises et des porteurs de projets en vue de la promotion et de la valorisation de leurs entreprises et projets.
Dans son discours d’ouverture, M. Gilles Gilbert Grézénguet a indiqué que dans l’optique de la relance et du développement du secteur privé, la Chambre de commerce de Bangui et la Sfi prévoient d’organiser quatre séminaires de formation au cours de l’année 2008, pour renforcer les capacités des promoteurs de projets et des opérateurs économiques ; ajoutant que l’année 2008 doit être « l’année de l’entreprenariat en République Centrafricaine».
Le consultant national de la Sfi, M. Serge Magloire Mologbama, a pour sa part déclaré que la formation des entrepreneurs permet non seulement de relancer le secteur privé, mais aussi d’inscrire les entreprises centrafricaines dans le contexte de la mondialisation en les rendant compétitives.
Pour lui, il faut progressivement, « bannir la culture de la valorisation de la fonction publique et de la dévalorisation du secteur privé ; car développer le secteur privé c’est relancer l’économie du pays en résorbant également le problème de chômage », a-t-il conclu.
Dans son discours d’ouverture, M. Gilles Gilbert Grézénguet a indiqué que dans l’optique de la relance et du développement du secteur privé, la Chambre de commerce de Bangui et la Sfi prévoient d’organiser quatre séminaires de formation au cours de l’année 2008, pour renforcer les capacités des promoteurs de projets et des opérateurs économiques ; ajoutant que l’année 2008 doit être « l’année de l’entreprenariat en République Centrafricaine».
Le consultant national de la Sfi, M. Serge Magloire Mologbama, a pour sa part déclaré que la formation des entrepreneurs permet non seulement de relancer le secteur privé, mais aussi d’inscrire les entreprises centrafricaines dans le contexte de la mondialisation en les rendant compétitives.
Pour lui, il faut progressivement, « bannir la culture de la valorisation de la fonction publique et de la dévalorisation du secteur privé ; car développer le secteur privé c’est relancer l’économie du pays en résorbant également le problème de chômage », a-t-il conclu.