Organisé par la direction de la santé familiale et de la population sur financement de l’Organisation mondiale de la santé (Oms), l’atelier regroupe 30 participants venus d’une dizaine d’Ong et a pour but de développer les caractéristiques spécifiques des adolescents et les méthodes appropriées pour faire face à leurs besoins et problèmes de santé.
Selon le docteur Serdouma, il est nécessaire de se préoccuper de la santé des adolescents en vue de canaliser leur développement productif et reproductif. Car « l’adolescence est une période de développement rapide au cours de laquelle les jeunes acquièrent des capacités et se trouvent confrontés à une multitude de difficultés ».
Il a également indiqué que parmi les maux qui troublent le développement sain des adolescents, il y a « les mariages et maternités précoces ainsi que les avortements clandestins [qui] sont grands pourvoyeurs de décès », précisant que le ratio de la mortalité maternelle est passé de 948 décès pour 100.000 naissances vivantes en 1995 à 1355 en 2003, selon les résultats du recensement général de de la population de 2003.
Le docteur Arlette Tété, qui assure la formation, a pour sa part indiqué que compte tenu des difficultés que rencontrent les adolescents dans le domaine de la santé, cet atelier va permettre de renforcer les capacités techniques des Ong en vue de rendre leurs interventions plus efficaces.
Durant 5 jours, les participants seront entretenus sur la signification de l’adolescence et ses implications en matière de santé publique, la santé sexuelle et reproductive des adolescentes, les avortements et risques chez les adolescentes, la prévention des grossesses précoces et non désirées, les Infections sexuellement transmissibles et le vih/sida ainsi que les services de santé adaptés aux adolescents.
Selon le docteur Serdouma, il est nécessaire de se préoccuper de la santé des adolescents en vue de canaliser leur développement productif et reproductif. Car « l’adolescence est une période de développement rapide au cours de laquelle les jeunes acquièrent des capacités et se trouvent confrontés à une multitude de difficultés ».
Il a également indiqué que parmi les maux qui troublent le développement sain des adolescents, il y a « les mariages et maternités précoces ainsi que les avortements clandestins [qui] sont grands pourvoyeurs de décès », précisant que le ratio de la mortalité maternelle est passé de 948 décès pour 100.000 naissances vivantes en 1995 à 1355 en 2003, selon les résultats du recensement général de de la population de 2003.
Le docteur Arlette Tété, qui assure la formation, a pour sa part indiqué que compte tenu des difficultés que rencontrent les adolescents dans le domaine de la santé, cet atelier va permettre de renforcer les capacités techniques des Ong en vue de rendre leurs interventions plus efficaces.
Durant 5 jours, les participants seront entretenus sur la signification de l’adolescence et ses implications en matière de santé publique, la santé sexuelle et reproductive des adolescentes, les avortements et risques chez les adolescentes, la prévention des grossesses précoces et non désirées, les Infections sexuellement transmissibles et le vih/sida ainsi que les services de santé adaptés aux adolescents.