L’objectif de cet atelier est de créer un espace de communication, d’échanges et de collaboration capable d’impliquer efficacement l’ensemble des parties prenantes dans les différentes étapes de la réalisation de la route Ouesso-Bangui, Bangui-Mbaïkoro au Tchad et de la navigation sur le fleuve Congo, l’Oubangui et la Sangha.
Le Directeur de cabinet David Bilakasso a également signalé que ce programme est inscrit dans le programme de la facilitation du transport sur les corridors multimodaux partant de Pointe Noire au Congo Brazzaville à Kinshasa et Matadi en République Démocratique du Congo.
D’après lui, tous ces projets vont contribuer au renforcement des échanges économiques entre le Congo, la République Démocratique du Congo, le Tchad et la République Centrafricaine.
Il a considéré que leur mise en œuvre pourra participer à améliorer quantitativement et qualitativement les infrastructures de transport qui sont susceptibles de répondre aux besoins de l’intégration sous-régionale.
Intervenant à son tour, Jean-Claude Azonfack, chef de service des Transports et coordonnateur général des programmes et projets de transports à la CEEAC, a estimé que pour réussir le projet, il est intéressant de recueillir les avis des uns et des autres.
Il a par ailleurs évoqué l’idée d’exhumer les résultats des études qui ont été bloquées par les malheureux événements.
Le Directeur de cabinet David Bilakasso a également signalé que ce programme est inscrit dans le programme de la facilitation du transport sur les corridors multimodaux partant de Pointe Noire au Congo Brazzaville à Kinshasa et Matadi en République Démocratique du Congo.
D’après lui, tous ces projets vont contribuer au renforcement des échanges économiques entre le Congo, la République Démocratique du Congo, le Tchad et la République Centrafricaine.
Il a considéré que leur mise en œuvre pourra participer à améliorer quantitativement et qualitativement les infrastructures de transport qui sont susceptibles de répondre aux besoins de l’intégration sous-régionale.
Intervenant à son tour, Jean-Claude Azonfack, chef de service des Transports et coordonnateur général des programmes et projets de transports à la CEEAC, a estimé que pour réussir le projet, il est intéressant de recueillir les avis des uns et des autres.
Il a par ailleurs évoqué l’idée d’exhumer les résultats des études qui ont été bloquées par les malheureux événements.