Cyriaque Gonda face à la presse, vendredi au siège du comité d'organisation du Dialogue Politique Inclusif (photo Kobadobo Acap)
S’exprimant au cours d’un point de presse relatif au siège du comité, M. Gonda a indiqué que le Président de la République prendra certainement d’autres mesures de décrispation sur demande des parties au processus et a rappelé la nécessité de consolider les acquis de l’accord global de Libreville car, a-t-il précisé, « Libreville a été une très grande avancée parce que nous avons obtenu une accalmie sur toute l’étendue du territoire par un cessez-le-feu immédiat ».
Il a par conséquent déploré les appels à la démission du président Bozizé formulés il y a quelques jours par le Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc, ancien parti au pouvoir) et le Mouvement démocratique pour la renaissance et l’évolution de Centrafrique (Mdrec).
Estimant que cette demande revient, au mieux, à transformer le prochain dialogue en « monologue », au pire, à « créer les conditions d’une instabilité », M. Gonda a appelé ces deux partis à la sérénité avant d’ajouter que le gouvernement avait « le devoir d’opposer la démocratie à l’anarchie ».
Il a par ailleurs indiqué que le comité d’organisation du Dialogue Politique Inclusif serait en mesure de déterminer la date de ce forum au terme de la session extraordinaire de l’Assemblée Nationale prévue pour 15 jours et censée adopter entre autres une loi d’amnistie permettant aux opposants en exile et aux représentants des groupes rebelles de participer aux assises prévues pour se tenir à Bangui.
Il a par conséquent déploré les appels à la démission du président Bozizé formulés il y a quelques jours par le Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc, ancien parti au pouvoir) et le Mouvement démocratique pour la renaissance et l’évolution de Centrafrique (Mdrec).
Estimant que cette demande revient, au mieux, à transformer le prochain dialogue en « monologue », au pire, à « créer les conditions d’une instabilité », M. Gonda a appelé ces deux partis à la sérénité avant d’ajouter que le gouvernement avait « le devoir d’opposer la démocratie à l’anarchie ».
Il a par ailleurs indiqué que le comité d’organisation du Dialogue Politique Inclusif serait en mesure de déterminer la date de ce forum au terme de la session extraordinaire de l’Assemblée Nationale prévue pour 15 jours et censée adopter entre autres une loi d’amnistie permettant aux opposants en exile et aux représentants des groupes rebelles de participer aux assises prévues pour se tenir à Bangui.