M. Dieudonné Kombo-Yaya, lors des manifestations de la journée de la francophonie (photo Kobadobo/Acap)
S’exprimant à l’occasion des manifestations de la journée de la Francophonie à Bangui, M. Kombo-Yaya que « cet espace permettra de faire de nombreuses activités linguistiques, culturelles et offrira l’occasion d’organiser des rencontres francophones locales ».
« la République Centrafricaine va bientôt assurer la présidence de la CEMAC et à cette occasion, elle fera appel à l’assistance de l’OIF dans plusieurs domaines entre autres, l’élaboration des positions dans les négociations des Accords de partenariat Economique (APE) avec l’Union Européenne », a-t-il poursuivi.
Il a expliqué que « notre pays pourrait mettre à profit son mandat pour conduire l’élaboration d’une politique régionale commune appuyée sur les politiques nationales déjà validée au niveau de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) ».
Il a souligné que cette rencontre permettra de poursuivre les discussions avec certains bailleurs de fonds qui, en octobre 2007, avaient déjà évoqué 2 dossiers majeurs, notamment celui des infrastructures nécessaires au désenclavement des régions productrices, à la circulation des biens et des personnes et à la mise à niveau des entreprises enfin la compensation des pertes des recettes fiscales et douanières liées à certains aspects des Accords de Partenariat Economique et l’adoption de politiques sectorielles permettant de réduire leur impact.
« la République Centrafricaine va bientôt assurer la présidence de la CEMAC et à cette occasion, elle fera appel à l’assistance de l’OIF dans plusieurs domaines entre autres, l’élaboration des positions dans les négociations des Accords de partenariat Economique (APE) avec l’Union Européenne », a-t-il poursuivi.
Il a expliqué que « notre pays pourrait mettre à profit son mandat pour conduire l’élaboration d’une politique régionale commune appuyée sur les politiques nationales déjà validée au niveau de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) ».
Il a souligné que cette rencontre permettra de poursuivre les discussions avec certains bailleurs de fonds qui, en octobre 2007, avaient déjà évoqué 2 dossiers majeurs, notamment celui des infrastructures nécessaires au désenclavement des régions productrices, à la circulation des biens et des personnes et à la mise à niveau des entreprises enfin la compensation des pertes des recettes fiscales et douanières liées à certains aspects des Accords de Partenariat Economique et l’adoption de politiques sectorielles permettant de réduire leur impact.