POLITIQUE
La première mission médicale chinoise est arrivée à Yaoundé au mois d'août 1975, quatre ans après la signature du Communiqué sur l'établissement des relations diplomatiques (le 26 mars 1971), précise la publication qui sera distribuée en fin septembre.
Trente-six ans après, on compte au total 496 médecins chinois ( gynécologues, pédiatres, ophtalmologues, cardiologues, généralistes, pharmaciens, radiologues et acupuncteurs ...) qui ont rendu leurs services au Cameroun.
Les hôpitaux de district de Guider dans le Nord et de Mbalmayo dans le Centre ont été les premiers à en bénéficier. Dernier fleuron dans le domaine, l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé a accueilli sa première équipe médicale chinoise en 2002.
Cette coopération a franchi une nouvelle étape en 2009 avec l'inauguration d'un centre de recherche sur le paludisme au sein de l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé. Plus grand que celui-ci, un autre hôpital de même nature (un don du gouvernement chinois) est en construction à Douala, la métropole économique de ce pays de l'Afrique centrale.
Pour le Ministre de la Santé publique du Cameroun, M. André Mama Fouda, la coopération médicale chinoise est très appréciée par la population camerounaise. Au fil du temps, elle s'est bâti, a-t-il précisé, « une véritable réputation d'efficacité et de célérité ».
Outre le travail routine à l'hôpital, l'équipe médicale chinoise organise chaque année des campagnes de consultation gratuite dans les régions arriérées où les services médicaux sont rares. Des dizaines de cartons de médicament sont distribués aux villageois, gratuitement aussi, pendant chaque campagne.
Grâce aux services rendus depuis plus de 30 ans par les médecins chinois, le Cameroun est devenu le point d'attraction des pays voisins en matière des soins médicaux, s'est félicité le directeur général de l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé, le Pr. Doh Anderson Sama, se réjouissant des échanges d'expériences et des discussions scientifiques entre médecins camerounais et chinois.
D'après le Pr. Sama, le principal avantage de cette coopération est celui de l'applicabilité. Les médecins chinois sont eux-mêmes au chevent des patients qui peuvent concrètement profiter de leur savoir.
La discipline et l'assiduité des équipes chinoises sont également des atouts pour une collaboration fructueuse, ajoute-il.
Trente-six ans après, on compte au total 496 médecins chinois ( gynécologues, pédiatres, ophtalmologues, cardiologues, généralistes, pharmaciens, radiologues et acupuncteurs ...) qui ont rendu leurs services au Cameroun.
Les hôpitaux de district de Guider dans le Nord et de Mbalmayo dans le Centre ont été les premiers à en bénéficier. Dernier fleuron dans le domaine, l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé a accueilli sa première équipe médicale chinoise en 2002.
Cette coopération a franchi une nouvelle étape en 2009 avec l'inauguration d'un centre de recherche sur le paludisme au sein de l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé. Plus grand que celui-ci, un autre hôpital de même nature (un don du gouvernement chinois) est en construction à Douala, la métropole économique de ce pays de l'Afrique centrale.
Pour le Ministre de la Santé publique du Cameroun, M. André Mama Fouda, la coopération médicale chinoise est très appréciée par la population camerounaise. Au fil du temps, elle s'est bâti, a-t-il précisé, « une véritable réputation d'efficacité et de célérité ».
Outre le travail routine à l'hôpital, l'équipe médicale chinoise organise chaque année des campagnes de consultation gratuite dans les régions arriérées où les services médicaux sont rares. Des dizaines de cartons de médicament sont distribués aux villageois, gratuitement aussi, pendant chaque campagne.
Grâce aux services rendus depuis plus de 30 ans par les médecins chinois, le Cameroun est devenu le point d'attraction des pays voisins en matière des soins médicaux, s'est félicité le directeur général de l'Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé, le Pr. Doh Anderson Sama, se réjouissant des échanges d'expériences et des discussions scientifiques entre médecins camerounais et chinois.
D'après le Pr. Sama, le principal avantage de cette coopération est celui de l'applicabilité. Les médecins chinois sont eux-mêmes au chevent des patients qui peuvent concrètement profiter de leur savoir.
La discipline et l'assiduité des équipes chinoises sont également des atouts pour une collaboration fructueuse, ajoute-il.
