L’objectif de cet atelier de concertation est d’outiller les acteurs de la micro finance et les professionnels des médias de les impliquer dans l’information et la sensibilisation des populations.
D’après Laurine Mbombaté, même si le secteur de la micro finance est de plus en plus considéré comme un instrument clef de lutte contre la pauvreté, il reste cependant « embryonnaire » en République Centrafricaine.
Le secteur de la micro finance avait connu une crise caractérisée par la spoliation des populations par des établissements de micro finance (EMF) fictifs et véreux. Il en a résulté la faillite et la perte de la crédibilité envers les EMF. Mais au-delà de cela, Laurine Mbombaté a reconnu que ce secteur « a connu une évolution remarquable ces derniers temps ».
Les principales communications ont porté sur la mission et le rôle du Comité national de la microfinance ; l’appui au secteur de la microfinance par les partenaires, dont le Fonds de consolidation de la paix ; la mission, le rôle et les objectifs de l’Association professionnelle des établissements de la microfinance, enfin, les offres de produits et services financiers des EMF et leurs couvertures géographiques.
Il ressort de ces communications que la COBAC (Commission Bancaire en Afrique Centrale) émet un avis conforme au sujet des dossiers qui lui sont adressés, et c’est le Ministère des Finances qui délivre les agréments.
Les EMF, qu’il s’agisse des établissements de première catégorie ou de deuxième catégorie, collectent l’épargne des sociétaires et les éclatent à travers les crédits. Certains de ces établissements offrent par ailleurs le service de transfert d’argent.
Il est à noter que les acteurs du secteur sont organisés en association (APEMF).
Précisons enfin que contrairement aux banques primaires, les EMF s’intéressent aux personnes qui ont moins de ressources pour les aider à accéder aux services financiers, peu contraignants.
D’après Laurine Mbombaté, même si le secteur de la micro finance est de plus en plus considéré comme un instrument clef de lutte contre la pauvreté, il reste cependant « embryonnaire » en République Centrafricaine.
Le secteur de la micro finance avait connu une crise caractérisée par la spoliation des populations par des établissements de micro finance (EMF) fictifs et véreux. Il en a résulté la faillite et la perte de la crédibilité envers les EMF. Mais au-delà de cela, Laurine Mbombaté a reconnu que ce secteur « a connu une évolution remarquable ces derniers temps ».
Les principales communications ont porté sur la mission et le rôle du Comité national de la microfinance ; l’appui au secteur de la microfinance par les partenaires, dont le Fonds de consolidation de la paix ; la mission, le rôle et les objectifs de l’Association professionnelle des établissements de la microfinance, enfin, les offres de produits et services financiers des EMF et leurs couvertures géographiques.
Il ressort de ces communications que la COBAC (Commission Bancaire en Afrique Centrale) émet un avis conforme au sujet des dossiers qui lui sont adressés, et c’est le Ministère des Finances qui délivre les agréments.
Les EMF, qu’il s’agisse des établissements de première catégorie ou de deuxième catégorie, collectent l’épargne des sociétaires et les éclatent à travers les crédits. Certains de ces établissements offrent par ailleurs le service de transfert d’argent.
Il est à noter que les acteurs du secteur sont organisés en association (APEMF).
Précisons enfin que contrairement aux banques primaires, les EMF s’intéressent aux personnes qui ont moins de ressources pour les aider à accéder aux services financiers, peu contraignants.