POLITIQUE
Au terme de ces activités le réseau centrafricain d’action de lutte contre les armes légères a formulé des recommandations à l’endroit du gouvernement, à savoir, veiller à ce que les forces armées se conforment au droit de la guerre et le respect des droits fondamentaux, de traduire en justice les auteurs présumés de violences faites aux femmes, de mettre en œuvre la résolution 1325 et 1820 du Conseil de Sécurité ;
…d’associer pleinement les femmes au processus de rétablissement de la paix, de veiller à ce que le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR) prennent en compte les différents besoins des femmes et que celles-ci soient impliquées pleinement dans le processus du DDR et de la Réforme du secteur de sécurité (RSS).
Le ministre Fidèle Gouandjika a interpelé ceux qui ont pris les armes pour déstabiliser le régime et profiter de cette incursion, pour violer les femmes à laisser tomber les armes et prendre la route du développement de notre pays.
« Taisons nos querelles, enterrons nos armes légères pour le développement de notre pays, permettant à nos femmes qui sont plus nombreuses en Centrafrique et qui constituent une force non négligeable pour le décollage socio-économique de notre pays, de vivre dans la paix afin de participer au développement de notre pays », a conclu le ministre Fidèle Gouandjika.
La Coordonnatrice des Femmes du Réseau Centrafricain d’Action contre les Armes Légères, (RCACAL), Mme Carole Egomé, a indiqué que la célébration de cette journée a favorisé le lancement de la première campagne internationale pour exiger aux autorités politiques la protection des femmes contre la violence armée dans la maison ,soit de désarmer pour enrayer la violence domestique.
« La République Centrafricaine a connu des difficultés pour organiser les élections législatives et présidentielle mais confronter à certaines contraintes liées à la prolifération des armes de guerre et de petits calibres dans la moitié du pays », a –t- elle fait observer.
Elle a souhaité qu’il est important de veiller à la gestion des armes qui ont fait taire la majorité des paysans, ceux-là chassés de leur maison d’habitation et traqués par les troupes rebelles .
Il faut rappeler que l’objectif de cette semaine mondiale de lutte contre la violence armée, est de sensibiliser la communauté nationale, la communauté internationale et les décideurs à développer une vision plus morale du problème de la violence armée à travers le pays en vue de son application.
…d’associer pleinement les femmes au processus de rétablissement de la paix, de veiller à ce que le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR) prennent en compte les différents besoins des femmes et que celles-ci soient impliquées pleinement dans le processus du DDR et de la Réforme du secteur de sécurité (RSS).
Le ministre Fidèle Gouandjika a interpelé ceux qui ont pris les armes pour déstabiliser le régime et profiter de cette incursion, pour violer les femmes à laisser tomber les armes et prendre la route du développement de notre pays.
« Taisons nos querelles, enterrons nos armes légères pour le développement de notre pays, permettant à nos femmes qui sont plus nombreuses en Centrafrique et qui constituent une force non négligeable pour le décollage socio-économique de notre pays, de vivre dans la paix afin de participer au développement de notre pays », a conclu le ministre Fidèle Gouandjika.
La Coordonnatrice des Femmes du Réseau Centrafricain d’Action contre les Armes Légères, (RCACAL), Mme Carole Egomé, a indiqué que la célébration de cette journée a favorisé le lancement de la première campagne internationale pour exiger aux autorités politiques la protection des femmes contre la violence armée dans la maison ,soit de désarmer pour enrayer la violence domestique.
« La République Centrafricaine a connu des difficultés pour organiser les élections législatives et présidentielle mais confronter à certaines contraintes liées à la prolifération des armes de guerre et de petits calibres dans la moitié du pays », a –t- elle fait observer.
Elle a souhaité qu’il est important de veiller à la gestion des armes qui ont fait taire la majorité des paysans, ceux-là chassés de leur maison d’habitation et traqués par les troupes rebelles .
Il faut rappeler que l’objectif de cette semaine mondiale de lutte contre la violence armée, est de sensibiliser la communauté nationale, la communauté internationale et les décideurs à développer une vision plus morale du problème de la violence armée à travers le pays en vue de son application.
