POLITIQUE
L’objectif recherché par cette session était de parvenir au rétablissement des différents contrôles, entre autres, le contrôle administratif assuré par les contrôleurs financiers, le contrôle politique qui incombe à l’Assemblée Nationale par le biais de vote de la loi de règlement.
Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour ,à savoir le projet de loi autorisant la perception des impôts, taxes et produits divers, le projet de loi de finances 2008 et le projet de loi portant organisation du cadre juridique et institutionnel.
M. Gaombalet a déclaré que tous ces projets de loi visent « à renforcer l’autorité du ministre de tutelle sur ces entreprises et offices publics, » et mettre « un terme à la déliquescence du secteur para public en lui permettant de jouer un nouveau rôle qui lui revient dans le développement économique et social du pays ».
Le président de l’Assemblée Nationale a déploré les mesures prises par les centrales syndicales qui ont décidé de recourir à des actions à caractère violent, à savoir un concert de casseroles, l’observation d'une journée dite "Centrafrique pays mort", et de faire cause commune avec les partis politiques de l'opposition dite radicale.
« La radicalisation et la politisation de ce mouvement sont en parfaite contradiction avec les conditions d’audience avec le bureau de l’Assemblée Nationale, » a-t-il expliqué.
« Nul ne songe à remettre en cause la légitimité des revendications reformulées par les travailleurs du secteur public, tout comme il n’est pas juste de méconnaître les efforts du gouvernement tendant à mettre un coup d’arrêt à l’accumulation des arriérés de salaires, pensions et bourses, » a-t-il poursuivi, ajoutant qu'« Il faut rechercher un compromis ».
Notons que cette session extraordinaire a été marquée par la démission du Premier ministre Elie Doté et son gouvernement depuis le 18 janvier dernier.
Il convient de rappeler que les travailleurs du secteur public observent leur mouvement de grève déclenchée depuis le 02 janvier dernier pour réclamer du gouvernement le versement de plusieurs mois d'arriérés de salaires et le déblocage des effets financiers des avancements bloqués depuis 1986.
Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour ,à savoir le projet de loi autorisant la perception des impôts, taxes et produits divers, le projet de loi de finances 2008 et le projet de loi portant organisation du cadre juridique et institutionnel.
M. Gaombalet a déclaré que tous ces projets de loi visent « à renforcer l’autorité du ministre de tutelle sur ces entreprises et offices publics, » et mettre « un terme à la déliquescence du secteur para public en lui permettant de jouer un nouveau rôle qui lui revient dans le développement économique et social du pays ».
Le président de l’Assemblée Nationale a déploré les mesures prises par les centrales syndicales qui ont décidé de recourir à des actions à caractère violent, à savoir un concert de casseroles, l’observation d'une journée dite "Centrafrique pays mort", et de faire cause commune avec les partis politiques de l'opposition dite radicale.
« La radicalisation et la politisation de ce mouvement sont en parfaite contradiction avec les conditions d’audience avec le bureau de l’Assemblée Nationale, » a-t-il expliqué.
« Nul ne songe à remettre en cause la légitimité des revendications reformulées par les travailleurs du secteur public, tout comme il n’est pas juste de méconnaître les efforts du gouvernement tendant à mettre un coup d’arrêt à l’accumulation des arriérés de salaires, pensions et bourses, » a-t-il poursuivi, ajoutant qu'« Il faut rechercher un compromis ».
Notons que cette session extraordinaire a été marquée par la démission du Premier ministre Elie Doté et son gouvernement depuis le 18 janvier dernier.
Il convient de rappeler que les travailleurs du secteur public observent leur mouvement de grève déclenchée depuis le 02 janvier dernier pour réclamer du gouvernement le versement de plusieurs mois d'arriérés de salaires et le déblocage des effets financiers des avancements bloqués depuis 1986.
