Cette deuxième session de l’année, appelée aussi session budgétaire qui a duré 90 jours, a permis aux élus de la nation d’examiner et d’adopter sept projets de loi et interpeller quatre membres du gouvernement.
Le Président de l’Assemblée nationale, Simplice Mathieu Sarandji a rappelé les sept lois qui ont été adoptées notamment, la loi portant déclaration de Patrimoine, la loi autorisant la ratification de la Charte Africaine sur la Sécurité Routière du 21 janvier 2016, la loi portant création du Bureau Centrafricain du Droit d’Auteur et Droits Voisins (BUCADA) en République Centrafricaine, la loi autorisant la ratification de la déclaration des Nations Unies sur la sécurité dans les écoles, la loi de finances pour l’exercice 2022, les lois relatives à l’Institut Centrafricain et l’Agronomique (ICRA) et l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA).
La dernière loi de l’année 2021, adoptée le 29 décembre et défendue par le ministre de la Communication et des Média, Serge-Ghislain Djorie, assurant l’intérim du ministre en charge de l’Economie numérique, est la loi régissant les transactions électroniques en République Centrafricaine.
En ce qui concerne les interpellations des quatre membres du gouvernement, l’Honorable Sarandji a indiqué que la représentation nationale a interpellé Madame la Ministre du Commerce et de l’Industrie sur « la flambée des prix des produits de première nécessité », le Ministre de la Santé et de la Population sur « une éventuelle grève du personnel soignant qui réclame le paiement du reliquat des indemnités du COVID-19 », et l’interpellation du gouvernement relative « aux tracasseries routières » et sur le « Problème éducatif ».
Le Président de la représentation nationale a soutenu qu’au cours de cette deuxième session ordinaire de l’année qui arrive à son terme, appelée aussi « session budgétaire », l’occasion a été donnée aux députés d’adopter la loi des Finances initiale pour le prochain exercice 2022. Cet instrument autorise désormais le gouvernement à prélever les impôts, taxes et droits divers qui permettront à l’Etat de faire face efficacement à ces charges régaliennes de fonctionnement et de développement du pays.
Selon le Président de l’Assemblée nationale, les ressources totales sont estimées à près de 300 milliards francs CFA, dont plus 100 milliards de francs CFA de ressources propres et près de 200 milliards de francs CFA de ressources extérieures. A cet effet, les charges totales sont estimées à hauteur 300 milliards de francs CFA. Il a relevé qu’au regard des ressources et des charges, il se dégage un solde global excédentaire de près de six milliards de francs CFA, ce qui représente 0,4% du PIB.
Par conséquent, le parlement centrafricain interpelle le gouvernement à respecter ses engagements vis-à-vis des partenaires techniques et financiers, afin de permettre au pays de renouer d’ici le second semestre 2022 avec le programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit du Fonds Monétaire International (FMI) qui est conditionné par la réussite du programme de référence.
Le député Sarandi a saisi cette opportunité pour dresser le bilan des activités réalisées sur le plan national et international par le parlement centrafricain dans tous les domaines durant cette seconde session de l’année qui s’achève.
Particulièrement en ce qui concerne la sécurité, Simplice-Mathieu Sarandji a souligné que cette situation amène les députés de la nation à se poser des questions sur l’efficacité de la MINUSCA qui, semble-t-il, est dotée d’un mandat robuste mais dont les résultats constatés sur le terrain sont plutôt minimes. A cet effet, le parlement centrafricain demande à la MINUSCA de changer son paradigme en recadrant fortement son action sur le terrain en faveur des populations.
En clôturant les travaux de la 2ème session de l’année qui s’achève, le Président de l’Assemblée nationale a souhaité la bonne et heureuse année 2022 à tout le personnel de son institution, tout en espérant très sincèrement, que la nouvelle année sera une année de paix, de réconciliation nationale, de cohésion sociale et de développement économique et social.
Le Président de l’Assemblée nationale, Simplice Mathieu Sarandji a rappelé les sept lois qui ont été adoptées notamment, la loi portant déclaration de Patrimoine, la loi autorisant la ratification de la Charte Africaine sur la Sécurité Routière du 21 janvier 2016, la loi portant création du Bureau Centrafricain du Droit d’Auteur et Droits Voisins (BUCADA) en République Centrafricaine, la loi autorisant la ratification de la déclaration des Nations Unies sur la sécurité dans les écoles, la loi de finances pour l’exercice 2022, les lois relatives à l’Institut Centrafricain et l’Agronomique (ICRA) et l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA).
La dernière loi de l’année 2021, adoptée le 29 décembre et défendue par le ministre de la Communication et des Média, Serge-Ghislain Djorie, assurant l’intérim du ministre en charge de l’Economie numérique, est la loi régissant les transactions électroniques en République Centrafricaine.
En ce qui concerne les interpellations des quatre membres du gouvernement, l’Honorable Sarandji a indiqué que la représentation nationale a interpellé Madame la Ministre du Commerce et de l’Industrie sur « la flambée des prix des produits de première nécessité », le Ministre de la Santé et de la Population sur « une éventuelle grève du personnel soignant qui réclame le paiement du reliquat des indemnités du COVID-19 », et l’interpellation du gouvernement relative « aux tracasseries routières » et sur le « Problème éducatif ».
Le Président de la représentation nationale a soutenu qu’au cours de cette deuxième session ordinaire de l’année qui arrive à son terme, appelée aussi « session budgétaire », l’occasion a été donnée aux députés d’adopter la loi des Finances initiale pour le prochain exercice 2022. Cet instrument autorise désormais le gouvernement à prélever les impôts, taxes et droits divers qui permettront à l’Etat de faire face efficacement à ces charges régaliennes de fonctionnement et de développement du pays.
Selon le Président de l’Assemblée nationale, les ressources totales sont estimées à près de 300 milliards francs CFA, dont plus 100 milliards de francs CFA de ressources propres et près de 200 milliards de francs CFA de ressources extérieures. A cet effet, les charges totales sont estimées à hauteur 300 milliards de francs CFA. Il a relevé qu’au regard des ressources et des charges, il se dégage un solde global excédentaire de près de six milliards de francs CFA, ce qui représente 0,4% du PIB.
Par conséquent, le parlement centrafricain interpelle le gouvernement à respecter ses engagements vis-à-vis des partenaires techniques et financiers, afin de permettre au pays de renouer d’ici le second semestre 2022 avec le programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit du Fonds Monétaire International (FMI) qui est conditionné par la réussite du programme de référence.
Le député Sarandi a saisi cette opportunité pour dresser le bilan des activités réalisées sur le plan national et international par le parlement centrafricain dans tous les domaines durant cette seconde session de l’année qui s’achève.
Particulièrement en ce qui concerne la sécurité, Simplice-Mathieu Sarandji a souligné que cette situation amène les députés de la nation à se poser des questions sur l’efficacité de la MINUSCA qui, semble-t-il, est dotée d’un mandat robuste mais dont les résultats constatés sur le terrain sont plutôt minimes. A cet effet, le parlement centrafricain demande à la MINUSCA de changer son paradigme en recadrant fortement son action sur le terrain en faveur des populations.
En clôturant les travaux de la 2ème session de l’année qui s’achève, le Président de l’Assemblée nationale a souhaité la bonne et heureuse année 2022 à tout le personnel de son institution, tout en espérant très sincèrement, que la nouvelle année sera une année de paix, de réconciliation nationale, de cohésion sociale et de développement économique et social.