POLITIQUE
Organisé du 26 février au 1er mars 2008 par le ministère de la Communication en partenariat avec le BONUCA, cet atelier a regroupé vingt (20) journalistes et reporters qui ont, pendant cinq (5) jours, été édifiés entre autres sur, « l'éthique et la déontologie, la construction de l’information, l’écriture journalistique, la présentation du journal, l’écriture journalistique audiovisuelle, la présentation et l’ordre de passage des éléments du journal parlé. »
« Le but de cet atelier est de faire prendre conscience de tout ce qui précède aux journalistes de Radio Centrafrique, afin d’honorer la profession par des prestations irréprochables et de montrer qu’il y a une différence entre avant et après le recyclage », a déclaré M. Lakoué.
Il a souligné que « la pertinence des questions survenues tout au long de cette session, suivies des débats passionnés sont la preuve de tout l’intérêt que vous avez porté aux différents thèmes qui ont été présentés, » « c’est à vous de vous prouver dans vos activités que vous avez bien assimilé toutes les réponses à vos préoccupations, et tout cela n’aurait servi à rien si la mise en œuvre de ce que vous avez appris n’est pas effective, » a-t-il avancé.
Mme Laba Touré a réaffirmé que « cette fonction de journaliste, pour s’épanouir, gagner la confiance du public et fidéliser les auditeurs, ne peut s’accommoder des carcans. »
Elle a précisé que « l’actualité a ses règles contre lesquelles les interventions extérieures à la rédaction ne peuvent que porter tort », ajoutant que « pour faire passer les messages de cohésion sociale, de civisme, et être un acteur de développement et de paix comme il lui est souvent demandé, le journaliste du service public doit également jouir de sa liberté, » a-t-elle conclu.
Il convient de rappeler qu’au terme de cet atelier, les vingt (20) journalistes et reporters ont reçu leurs attestations de fin de recyclage et de remise à niveau.
« Le but de cet atelier est de faire prendre conscience de tout ce qui précède aux journalistes de Radio Centrafrique, afin d’honorer la profession par des prestations irréprochables et de montrer qu’il y a une différence entre avant et après le recyclage », a déclaré M. Lakoué.
Il a souligné que « la pertinence des questions survenues tout au long de cette session, suivies des débats passionnés sont la preuve de tout l’intérêt que vous avez porté aux différents thèmes qui ont été présentés, » « c’est à vous de vous prouver dans vos activités que vous avez bien assimilé toutes les réponses à vos préoccupations, et tout cela n’aurait servi à rien si la mise en œuvre de ce que vous avez appris n’est pas effective, » a-t-il avancé.
Mme Laba Touré a réaffirmé que « cette fonction de journaliste, pour s’épanouir, gagner la confiance du public et fidéliser les auditeurs, ne peut s’accommoder des carcans. »
Elle a précisé que « l’actualité a ses règles contre lesquelles les interventions extérieures à la rédaction ne peuvent que porter tort », ajoutant que « pour faire passer les messages de cohésion sociale, de civisme, et être un acteur de développement et de paix comme il lui est souvent demandé, le journaliste du service public doit également jouir de sa liberté, » a-t-elle conclu.
Il convient de rappeler qu’au terme de cet atelier, les vingt (20) journalistes et reporters ont reçu leurs attestations de fin de recyclage et de remise à niveau.
