Parmi ces recommandations, on retiendra celles préconisant une audition « de toute urgence » de la Société de distribution d’eau en Centrafrique (Sodeca), l’exonération des droits et taxes d’entrées sur les pièces détachées pour les ouvrages hydrauliques, le soutien au développement des PME/PMI et de la société civile dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement ainsi qu’une clarification de la stratégie nationale en matière d’assainissement.
Les différentes communications présentées lors de ces assises ont fait apparaître que la Sodeca, qui gère les systèmes d’eau potable de 8 villes (dont Bangui) éprouve de plus en plus de difficultés à maîtriser son exploitation en raison de pertes de distribution estimées à 47% et d’un taux de recouvrement et d’un taux de recouvrement de seulement 50% des factures.
S’agissant de l’assainissement, l’état des lieux présenté pendant le forum laisse apparaître l’absence d’une politique nationale de salubrité de l’environnement en dépit d’un taux élevé de maladies liées à l’insuffisance de mesures d’hygiène et d’assainissement.
Selon les organisateurs du forum, 100 milliards F CFA d’investissements sont nécessaires dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement pour permettre à la République Centrafricaine d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement.
La tenue du forum national sur l’eau intervient 6 mois après la présentation du Rapport mondial 2006 sur le développement humain consacré au thème de l’eau et du développement humain.
Un colloque organisé dans le cadre de cette présentation avait relevé pour la République Centrafricaine une situation paradoxale caractérisée par une « très faible » utilisation de l’eau, de l’ordre de 320 millions m3/an pour une demande estimée à 2 600 m3/an et une ressource en eau renouvelable globale estimée à 74,5 milliards m3/an, rappelle-t-on.
Les différentes communications présentées lors de ces assises ont fait apparaître que la Sodeca, qui gère les systèmes d’eau potable de 8 villes (dont Bangui) éprouve de plus en plus de difficultés à maîtriser son exploitation en raison de pertes de distribution estimées à 47% et d’un taux de recouvrement et d’un taux de recouvrement de seulement 50% des factures.
S’agissant de l’assainissement, l’état des lieux présenté pendant le forum laisse apparaître l’absence d’une politique nationale de salubrité de l’environnement en dépit d’un taux élevé de maladies liées à l’insuffisance de mesures d’hygiène et d’assainissement.
Selon les organisateurs du forum, 100 milliards F CFA d’investissements sont nécessaires dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement pour permettre à la République Centrafricaine d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement.
La tenue du forum national sur l’eau intervient 6 mois après la présentation du Rapport mondial 2006 sur le développement humain consacré au thème de l’eau et du développement humain.
Un colloque organisé dans le cadre de cette présentation avait relevé pour la République Centrafricaine une situation paradoxale caractérisée par une « très faible » utilisation de l’eau, de l’ordre de 320 millions m3/an pour une demande estimée à 2 600 m3/an et une ressource en eau renouvelable globale estimée à 74,5 milliards m3/an, rappelle-t-on.