Organisé par le ministère des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies en partenariat avec l’Union Internationale des Télécommunications et de l’Agence de Régulation des Télécommunication (ART), ce séminaire de cinq jours a réuni une trentaine de représentants de cinq réseaux de téléphonie mobile qui se sont familiarisés avec l’utilisation d’un logiciel dénommé COSITU qui servira de base commune de négociation des tarifs relatifs aux services téléphoniques.
Au terme de ces assises les participants ont recommandé au ministère en charge des télécommunications la création d’un comité en charge des tarifs et d’interconnexion, la mise en place de l’équipe de chaque entité qui s’occupera du bon fonctionnement de ce processus, l’identification des différents marchés pertinents, l’établissement d’une liste des opérateurs dominants sur chaque marché, la définition des obligations analytiques dans un délai défini et enfin l’obligation aux opérateurs de téléphonie d’élaborer et publier leur catalogue d’interconnexion.
Quant à l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), il lui est demandé de continuer son appui à la mise en œuvre du processus d’utilisation du logiciel COSITU.
M. Gouandjika a indiqué à cette occasion que « l’objectif de cette rencontre est de renforcer la capacité des participants venus de divers horizons afin de permettre à tous les acteurs des télécommunications et nouvelles technologies de communication, y compris le régulateur, de parler le même langage ».
M. Valeri SaÏ a réitéré que, l’Agence de Régulation a pour mission de veiller à l’harmonisation et à la rationalisation des coûts, à la tarification et à l’interconnexion entre les opérateurs de téléphonie mobile centrafricains.
Il faut rappeler que l’objectif de cet atelier était d’harmoniser les prix de communication à court terme, et aussi d’avoir la capacité de définir un prix plongé et un prix plafond avec l’ensemble des opérateurs économiques dudit secteur, de telle manière qu’ils puissent fixer un prix à l’intérieur du segment qui sera défini.
Au terme de ces assises les participants ont recommandé au ministère en charge des télécommunications la création d’un comité en charge des tarifs et d’interconnexion, la mise en place de l’équipe de chaque entité qui s’occupera du bon fonctionnement de ce processus, l’identification des différents marchés pertinents, l’établissement d’une liste des opérateurs dominants sur chaque marché, la définition des obligations analytiques dans un délai défini et enfin l’obligation aux opérateurs de téléphonie d’élaborer et publier leur catalogue d’interconnexion.
Quant à l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), il lui est demandé de continuer son appui à la mise en œuvre du processus d’utilisation du logiciel COSITU.
M. Gouandjika a indiqué à cette occasion que « l’objectif de cette rencontre est de renforcer la capacité des participants venus de divers horizons afin de permettre à tous les acteurs des télécommunications et nouvelles technologies de communication, y compris le régulateur, de parler le même langage ».
M. Valeri SaÏ a réitéré que, l’Agence de Régulation a pour mission de veiller à l’harmonisation et à la rationalisation des coûts, à la tarification et à l’interconnexion entre les opérateurs de téléphonie mobile centrafricains.
Il faut rappeler que l’objectif de cet atelier était d’harmoniser les prix de communication à court terme, et aussi d’avoir la capacité de définir un prix plongé et un prix plafond avec l’ensemble des opérateurs économiques dudit secteur, de telle manière qu’ils puissent fixer un prix à l’intérieur du segment qui sera défini.