Le Chargé de Mission Firmin Ngbong-Mokoé s'est réjoui de ce que les participants ont passé au peigne fin les deux conventions des Nations- Unies relatives au statut des apatrides et de la réduction de l’apatridie, à savoir la déclaration de Dar-Es-Salam et de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) sur l’apatridie ainsi que celle dite déclaration de Brazzaville, signée le 19 octobre 2018 par les Etats membres de la CIRGL.
Cet exercice intellectuel a permis aux participants d’appréhender les difficultés auxquelles sont confrontées la lutte contre l’apatridie et les incertitudes qui l’entourent dans l’espace régional, en général, et la République Centrafricaine, en particulier, a-t-il expliqué.
Il a indiqué s’en tenir aux recommandations et propositions formulées et qui sont de nature à contribuer à l’éradication ou tout au moins à limiter l’étendue de ce fléau.
« Je reste convaincu que ces grandes délibérations redynamiseront le dispositif de protection et d’assistance des personnes victimes d’exclusion et de marginalisation en matière de document de nationalité dans notre pays », a-t-il poursuivi.
Il a rassuré le HCR de la disponibilité de la République Centrafricaine à participer à toutes les initiatives tendant à redonner à ces milliers de personnes en Afrique et dans le monde la possibilité de jouir de leurs droits fondamentaux et notamment le droit à une nationalité.
Le représentant du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés, Buti Kale, a, quant à lui, indiqué que deux justifications sous -tendent la matérialisation de l’engagement de la RCA en matière d’apatridie.
Il a salué les efforts que déploie le gouvernement centrafricain pour restaurer l’autorité de l’Etat, la défense de l’intégrité territoriale et la maîtrise des populations à travers des mécanismes d’identification et de documentation fiable, ce qui constitue, selon lui, un enjeu majeur pour les apatrides.
Il a réitéré l’engagement du HCR à accompagner le gouvernement dans la réalisation des objectifs fixés dans le cadre de la lutte contre l’apatridie en République centrafricaine.
Cet exercice intellectuel a permis aux participants d’appréhender les difficultés auxquelles sont confrontées la lutte contre l’apatridie et les incertitudes qui l’entourent dans l’espace régional, en général, et la République Centrafricaine, en particulier, a-t-il expliqué.
Il a indiqué s’en tenir aux recommandations et propositions formulées et qui sont de nature à contribuer à l’éradication ou tout au moins à limiter l’étendue de ce fléau.
« Je reste convaincu que ces grandes délibérations redynamiseront le dispositif de protection et d’assistance des personnes victimes d’exclusion et de marginalisation en matière de document de nationalité dans notre pays », a-t-il poursuivi.
Il a rassuré le HCR de la disponibilité de la République Centrafricaine à participer à toutes les initiatives tendant à redonner à ces milliers de personnes en Afrique et dans le monde la possibilité de jouir de leurs droits fondamentaux et notamment le droit à une nationalité.
Le représentant du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés, Buti Kale, a, quant à lui, indiqué que deux justifications sous -tendent la matérialisation de l’engagement de la RCA en matière d’apatridie.
Il a salué les efforts que déploie le gouvernement centrafricain pour restaurer l’autorité de l’Etat, la défense de l’intégrité territoriale et la maîtrise des populations à travers des mécanismes d’identification et de documentation fiable, ce qui constitue, selon lui, un enjeu majeur pour les apatrides.
Il a réitéré l’engagement du HCR à accompagner le gouvernement dans la réalisation des objectifs fixés dans le cadre de la lutte contre l’apatridie en République centrafricaine.