Le Plan d'action, adoptée par les ministres des Affaires étrangères et les ministres chargés de la coopération économique de Chine et de 49 pays afrcains, réunis dimanche et lundi à Charm el-Cheikh, en Egypte, indique que le dernier Plan d'action adoptée en 2006, lors du Sommet de Beijing du Forum, a été exécuté de façon intégrale et efficace.
Le document prévoit une série de mesures à mettre en oeuvre dans les domaines politique, économique, humanitaire et culturel entre 2010 et 2012.
Les deux parties s'engagent à maintenir la dynamique de leurs échanges de haut niveau, à renforcer les échanges entre les partis politiques, les organes législatifs et les collectivités territoriales, et à promouvoir la coopération dans la gestion de l'immigration.
Les deux parties vont poursuivre leurs échanges de vues par le mécanisme de dialogue stratégique ente la Chine et l'Union africaine (UA) et soutiennent le rôle accru de l'UA dans les affaires internationales et régionales. La Chine déclare accueillir favorablement l'ouverture par l'UA d'un bureau de représentation à Beijing.
Selon la Plan d'action, la Chine continuera à apporter son soutien, à participer aux opérations de maintien de la paix de l'ONU en Afrique et à soutenir la reconstruction post-conflit des pays concernés, appréciant l'idée et la pratique des "solutions africaines aux problèmes africains".
A propos du problème climatique, la Chine souligne qu'il ne faut pas réduire l'attention accordée au développement de l'Afrique sous prétexte de la lutte contre le changement climatique.
Sur le plan économique, les deux parties ont décidé de faire de l'agriculture et de la sécurité une priorité de leur coopération. La Chine va envoyer des missions techniques agricoles en Afrique et former pour les pays africains des techniciens agricoles.
Pour soutenir les entreprises chinoises dans leurs investissements en Afrique, la Chine s'engage à augmenter le volume du Fonds de développement Chine-Afrique.
La Chine continuera à fournir aux pays africains des prêts préférentiels destinés essentiellement aux projets d'infrastructures et de développement social, et à annuler des dettes des pays pauvres très endettés (PPTE) et des pays les moins avancés (PMA) africains qui ont des relations diplomatiques avec la Chine.
La Chine s'engage à ouvrir davantage son marché aux pays africains et à accordera le traitement de tarif douanier zéro à plus de produits en provenance des pays les moins avancés. Un centre de promotion des produits afircains sera créé à Yiwu, ville du sud de la Chine.
Le gouvernement chinois continuera à former pour l'Afrique des personnels spécialisés dans différents domaines, et fournia 1,5 million de dollars US pour soutenir la mise en oeuvre en Afrique des projets de formation d'infirmières et de sages-femmes du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad).
Dans le domaine de l'éducation, le plan propose le lancement du Prejet de coopération 20+20 entre les établissements supérieur chinois et africains, visant à établir un nouveau mode de coopération inter-universitaire consistant à tisser des relations one-to-one entre 20 universités chinoises et 20 universités africaines.
Le Chine va accueillir 200 cadres administratifs de moyen et haut niveau pour des études de MPA en Chine dans les trois ans à venir, et accroître le nombre de bourses accordées aux pays africains.
Les deux parties ont convenu de promouvoir le développement des Instituts Confucius.
Sur le plan technino-scientifique, les deux parties vont organiser au moment opportun un forum sur les sciences et technologies et proposent de lancer le Projet de partenariat technico-scientifique sino-africain pour aider les pays africains à renforcer leurs capacités en la matière.
Le gouvernement chinois va mettre en oeuvre des projets d'études conjointes et de démonstration d'ici trois ans et recevra un certain nombre de chercheurs africains post-doctorat en Chine pour mener des recherches scientifiques.
La Chine favorisera les transferts de technologie vers les pays africains, notamment des technologies avancées adaptées qui ont un grand impact sur le développement socio-économique de l'Afrique dans les domaines de l'eau potable, de l'agriculture, des énergies propres et de la santé.
D'ici trois ans, le gouvernement chinois fournira des équipements médicaux et des matériels anti-paludisme à 30 hôpitaux et à 30 centres anti-paludisme construits par la Chine.
Sur le secteur touristique, la Chine accordera le statut de destination approuvée à davantage de pays africains qui remplissent les conditions requises.
Les deux parties vont également renforcer leurs échanges et coopération humains et culturels. Un forum culturel dans le cadre du Focac sera organisé au moment opportun.
Le document prévoit une série de mesures à mettre en oeuvre dans les domaines politique, économique, humanitaire et culturel entre 2010 et 2012.
Les deux parties s'engagent à maintenir la dynamique de leurs échanges de haut niveau, à renforcer les échanges entre les partis politiques, les organes législatifs et les collectivités territoriales, et à promouvoir la coopération dans la gestion de l'immigration.
Les deux parties vont poursuivre leurs échanges de vues par le mécanisme de dialogue stratégique ente la Chine et l'Union africaine (UA) et soutiennent le rôle accru de l'UA dans les affaires internationales et régionales. La Chine déclare accueillir favorablement l'ouverture par l'UA d'un bureau de représentation à Beijing.
Selon la Plan d'action, la Chine continuera à apporter son soutien, à participer aux opérations de maintien de la paix de l'ONU en Afrique et à soutenir la reconstruction post-conflit des pays concernés, appréciant l'idée et la pratique des "solutions africaines aux problèmes africains".
A propos du problème climatique, la Chine souligne qu'il ne faut pas réduire l'attention accordée au développement de l'Afrique sous prétexte de la lutte contre le changement climatique.
Sur le plan économique, les deux parties ont décidé de faire de l'agriculture et de la sécurité une priorité de leur coopération. La Chine va envoyer des missions techniques agricoles en Afrique et former pour les pays africains des techniciens agricoles.
Pour soutenir les entreprises chinoises dans leurs investissements en Afrique, la Chine s'engage à augmenter le volume du Fonds de développement Chine-Afrique.
La Chine continuera à fournir aux pays africains des prêts préférentiels destinés essentiellement aux projets d'infrastructures et de développement social, et à annuler des dettes des pays pauvres très endettés (PPTE) et des pays les moins avancés (PMA) africains qui ont des relations diplomatiques avec la Chine.
La Chine s'engage à ouvrir davantage son marché aux pays africains et à accordera le traitement de tarif douanier zéro à plus de produits en provenance des pays les moins avancés. Un centre de promotion des produits afircains sera créé à Yiwu, ville du sud de la Chine.
Le gouvernement chinois continuera à former pour l'Afrique des personnels spécialisés dans différents domaines, et fournia 1,5 million de dollars US pour soutenir la mise en oeuvre en Afrique des projets de formation d'infirmières et de sages-femmes du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad).
Dans le domaine de l'éducation, le plan propose le lancement du Prejet de coopération 20+20 entre les établissements supérieur chinois et africains, visant à établir un nouveau mode de coopération inter-universitaire consistant à tisser des relations one-to-one entre 20 universités chinoises et 20 universités africaines.
Le Chine va accueillir 200 cadres administratifs de moyen et haut niveau pour des études de MPA en Chine dans les trois ans à venir, et accroître le nombre de bourses accordées aux pays africains.
Les deux parties ont convenu de promouvoir le développement des Instituts Confucius.
Sur le plan technino-scientifique, les deux parties vont organiser au moment opportun un forum sur les sciences et technologies et proposent de lancer le Projet de partenariat technico-scientifique sino-africain pour aider les pays africains à renforcer leurs capacités en la matière.
Le gouvernement chinois va mettre en oeuvre des projets d'études conjointes et de démonstration d'ici trois ans et recevra un certain nombre de chercheurs africains post-doctorat en Chine pour mener des recherches scientifiques.
La Chine favorisera les transferts de technologie vers les pays africains, notamment des technologies avancées adaptées qui ont un grand impact sur le développement socio-économique de l'Afrique dans les domaines de l'eau potable, de l'agriculture, des énergies propres et de la santé.
D'ici trois ans, le gouvernement chinois fournira des équipements médicaux et des matériels anti-paludisme à 30 hôpitaux et à 30 centres anti-paludisme construits par la Chine.
Sur le secteur touristique, la Chine accordera le statut de destination approuvée à davantage de pays africains qui remplissent les conditions requises.
Les deux parties vont également renforcer leurs échanges et coopération humains et culturels. Un forum culturel dans le cadre du Focac sera organisé au moment opportun.