L’objectif de cette visite était d’amener les bailleurs à se rendre compte des réalités du terrain afin de contribuer à la mise à disposition de ressources nécessaires. Les autorités gouvernementales, des représentants du corps diplomatique ainsi que ceux du système des Nations-Unies faisaient partie de la délégation.
Il s’agit d’environ 18000 réfugiés en provenance de la RD Congo, dont l'âge varie entre 0 et 60 ans, en quête de sécurité et d’asile en République Centrafricaine, dans les localités de Ikoumba 1, Ikoumba 2, Sabourou, Mongoumba, embouchure et Zinga.
Ces réfugiés sont pour la plupart des cultivateurs et pêcheurs arrivés à Mongoumba depuis le mois de novembre suite à l’offensive des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) sur les positions des combattants Enyele dans la province de l’Equateur.
Interrogé sur les raisons de leur fuite, les réfugiés ont exprimé leur crainte de subir des exactions (viol, et pillages) de la part des FARDC, se souvenant de ce qui leur était arrivé il y a seulement quelques années. Ils craignent aussi d’être pris au piège dans les combats qui opposent les deux parties.
Certains ne sont pas prêts à retourner de si tôt et souhaiteraient permettre à leurs enfants de reprendre les cours et pour les adultes leurs activités de pêche et d’agriculture pour subvenir à leurs besoins.
La Représentante du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés en République Centrafricaine, Mme Aminata Gueye, a souligné qu’on a essayé avec les partenaires de les approvisionner en eau, en vivres et on leur a distribué des bâches pour les protéger contre la pluie, des marmites et des moustiquaires.
« je remarque aussi qu’il y a beaucoup d’enfants, beaucoup de femmes et la population des réfugiés dépasse de loin la population autochtone qui les accueillis à bras ouverts et les autorités locales les ont aidés », a-t-elle ajouté.
Il s’agit d’environ 18000 réfugiés en provenance de la RD Congo, dont l'âge varie entre 0 et 60 ans, en quête de sécurité et d’asile en République Centrafricaine, dans les localités de Ikoumba 1, Ikoumba 2, Sabourou, Mongoumba, embouchure et Zinga.
Ces réfugiés sont pour la plupart des cultivateurs et pêcheurs arrivés à Mongoumba depuis le mois de novembre suite à l’offensive des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) sur les positions des combattants Enyele dans la province de l’Equateur.
Interrogé sur les raisons de leur fuite, les réfugiés ont exprimé leur crainte de subir des exactions (viol, et pillages) de la part des FARDC, se souvenant de ce qui leur était arrivé il y a seulement quelques années. Ils craignent aussi d’être pris au piège dans les combats qui opposent les deux parties.
Certains ne sont pas prêts à retourner de si tôt et souhaiteraient permettre à leurs enfants de reprendre les cours et pour les adultes leurs activités de pêche et d’agriculture pour subvenir à leurs besoins.
La Représentante du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés en République Centrafricaine, Mme Aminata Gueye, a souligné qu’on a essayé avec les partenaires de les approvisionner en eau, en vivres et on leur a distribué des bâches pour les protéger contre la pluie, des marmites et des moustiquaires.
« je remarque aussi qu’il y a beaucoup d’enfants, beaucoup de femmes et la population des réfugiés dépasse de loin la population autochtone qui les accueillis à bras ouverts et les autorités locales les ont aidés », a-t-elle ajouté.