Selon Mme Meike Van Ginneken, « cet appui fait suite à la grave crise financière qui a secoué l’économie internationale et dont l’économie de la République Centrafricaine n’est pas épargnée ».
« Cet appui est imminent. Après les discussions d’ici le mois de juin, il est possible que la première tranche soit débloquée dès juillet 2010 », a ajouté Mme Meike Van Ginneken.
Répondant à la presse, à l'issue de l'entretien, M. Sylvain Maliko a souligné que « c’est depuis 2006 que la Banque Mondiale assiste la République Centrafricaine dans ce domaine en vue d’appuyer toutes les réformes qui sont initiées par le gouvernement ».
Parallèlement à ces réformes, « les indicateurs de croissance en économie comprennent entre autres la génération des ressources, notamment financières. La République Centrafricaine n’a pas atteint une performance dans ce domaine. Autrement dit, l’économie du pays reste encore très fragile. D’où l’importance du coup de pouce de la Banque mondiale », a-t-il indiqué.
Faisant allusion à la crise financière internationale, M. Maiiko a déploré « qu’elle ralentit les efforts fournis en ce qui concerne les réformes. Et l’appui de la Banque mondiale est la bienvenue ».
L’enveloppe allouée peut s’avérer insuffisante au regard des besoins. En conséquence, le gouvernement devra rechercher d’autres sources de financement pour combler les déficits », a-t-il toutefois relevé.
La délégation de la Banque Mondiale a également eu des séances de travail avec les départements sectoriels tels que les Eaux et Forêts, les Mines, la Santé, l’Education, l’Ectricité, etc.
« Cet appui est imminent. Après les discussions d’ici le mois de juin, il est possible que la première tranche soit débloquée dès juillet 2010 », a ajouté Mme Meike Van Ginneken.
Répondant à la presse, à l'issue de l'entretien, M. Sylvain Maliko a souligné que « c’est depuis 2006 que la Banque Mondiale assiste la République Centrafricaine dans ce domaine en vue d’appuyer toutes les réformes qui sont initiées par le gouvernement ».
Parallèlement à ces réformes, « les indicateurs de croissance en économie comprennent entre autres la génération des ressources, notamment financières. La République Centrafricaine n’a pas atteint une performance dans ce domaine. Autrement dit, l’économie du pays reste encore très fragile. D’où l’importance du coup de pouce de la Banque mondiale », a-t-il indiqué.
Faisant allusion à la crise financière internationale, M. Maiiko a déploré « qu’elle ralentit les efforts fournis en ce qui concerne les réformes. Et l’appui de la Banque mondiale est la bienvenue ».
L’enveloppe allouée peut s’avérer insuffisante au regard des besoins. En conséquence, le gouvernement devra rechercher d’autres sources de financement pour combler les déficits », a-t-il toutefois relevé.
La délégation de la Banque Mondiale a également eu des séances de travail avec les départements sectoriels tels que les Eaux et Forêts, les Mines, la Santé, l’Education, l’Ectricité, etc.