La tenue de cet atelier s'inscrit dans le cadre de la mobilisation engagée par les partenaires, à travers la mise en œuvre des projets ECOFAC, Dzanga Sangha, PDRN et Forêt de Bangassou, pour soutenir les efforts du gouvernement centrafricain en matière de sauvegarde de la faune sauvage centrafricaine, l’une des plus riches d’Afrique centrale, actuellement menacée.
Dans son discours, M. Etienne Ngounion, représentant la FAO a déploré le fait que pour alimenter la filière viande de brousse, une partie de la population centrafricaine pratique « le braconnage à but alimentaire », Ce qui, pour lui, participe « à la dégradation de la biodiversité dans les écosystèmes forestiers ».
Il est vrai, a reconnu M. Ngounion, que « la filière viande de brousse relève encore du secteur informel », ce qui ne permet pas à l’Etat de constituer des recettes à partir de ce secteur, comme c'est le cas dans le tourisme cynégétique et l’écotourisme qui, eux, sont réglementés.
Le gouvernement centrafricain avait sollicité, en 2008, l’assistance du Fonds de l’Environnement Mondial (FEM) afin de mettre en place un mécanisme de gestion participative de la faune et de la régulation du commerce de viande de brousse. L’objectif de cette sollicitation était de réduire l’impact de la chasse sur la dégradation des écosystèmes forestiers.
M. Théodore Mbaro, Directeur des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, a, pour sa part, mis l’accent sur la « valorisation de la faune et de la flore sans les dégrader ». Pour lui, « une telle démarche permet de concilier les intérêts du développement avec ceux de la conservation ».
Rappelons qu’en mars 1999, les chefs d’Etat d’Afrique centrale s’étaient réunis à Yaoundé, au Cameroun, pour prendre des engagements nécessaires à la préservation des ressources naturelles et environnementales.
Au nom de la FAO, M. Ngounion a annoncé que l’institution qu’il représente « appuiera la République Centrafricaine quant à la révision des textes législatifs, la formulation de politique et stratégies nationales de gestion viande de chasse ».
Dans son discours, M. Etienne Ngounion, représentant la FAO a déploré le fait que pour alimenter la filière viande de brousse, une partie de la population centrafricaine pratique « le braconnage à but alimentaire », Ce qui, pour lui, participe « à la dégradation de la biodiversité dans les écosystèmes forestiers ».
Il est vrai, a reconnu M. Ngounion, que « la filière viande de brousse relève encore du secteur informel », ce qui ne permet pas à l’Etat de constituer des recettes à partir de ce secteur, comme c'est le cas dans le tourisme cynégétique et l’écotourisme qui, eux, sont réglementés.
Le gouvernement centrafricain avait sollicité, en 2008, l’assistance du Fonds de l’Environnement Mondial (FEM) afin de mettre en place un mécanisme de gestion participative de la faune et de la régulation du commerce de viande de brousse. L’objectif de cette sollicitation était de réduire l’impact de la chasse sur la dégradation des écosystèmes forestiers.
M. Théodore Mbaro, Directeur des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, a, pour sa part, mis l’accent sur la « valorisation de la faune et de la flore sans les dégrader ». Pour lui, « une telle démarche permet de concilier les intérêts du développement avec ceux de la conservation ».
Rappelons qu’en mars 1999, les chefs d’Etat d’Afrique centrale s’étaient réunis à Yaoundé, au Cameroun, pour prendre des engagements nécessaires à la préservation des ressources naturelles et environnementales.
Au nom de la FAO, M. Ngounion a annoncé que l’institution qu’il représente « appuiera la République Centrafricaine quant à la révision des textes législatifs, la formulation de politique et stratégies nationales de gestion viande de chasse ».