« Dans ce pays et pour ce pays, où la pauvreté matérielle, la morale politique, la sorcellerie, la mesquinerie, la jalousie, le mensonge, le vol, la division détruisent d’une manière aveugle et absurde, le peuple qui est actif est appelé à être des prophètes des autres valeurs remplies de l’esprit saint et de foi », a déclaré l’abbé Brad Mazangué, dans son homélie prononcée en présence du président François Bozizé et du premier ministre Faustin Archange Touadéra.
« Etre des hommes de valeur, c’est être des hommes de foi, de confiance, de consistance morale, des hommes de parole, de sagesse, d’accueil, d’ouverture, d’équilibre que notre pays a besoin pour être une terre de paix », a-t-il ajouté, précisant que l'image à retenir de son message est celle d'un « homme purifié au creuset des efforts extérieurs et intérieurs qui s’en remet totalement entre les mains de Dieu, gardant les yeux levé vers le seigneur, comme les yeux de l’esclave vers les mains de son maître ».
La célébration de cette messe d’action de grâce intervient moins d'une semaine après que l'Association Internationale de Développement (IDA) de la Banque mondiale et le Fonds monétaire international eurent jugés suffisants les progrès réalisés par la République Centrafricaine pour obtenir de la part de tous ses créanciers un allègement de sa dette dans le cadre de l’Initiative renforcée en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE).
« Etre des hommes de valeur, c’est être des hommes de foi, de confiance, de consistance morale, des hommes de parole, de sagesse, d’accueil, d’ouverture, d’équilibre que notre pays a besoin pour être une terre de paix », a-t-il ajouté, précisant que l'image à retenir de son message est celle d'un « homme purifié au creuset des efforts extérieurs et intérieurs qui s’en remet totalement entre les mains de Dieu, gardant les yeux levé vers le seigneur, comme les yeux de l’esclave vers les mains de son maître ».
La célébration de cette messe d’action de grâce intervient moins d'une semaine après que l'Association Internationale de Développement (IDA) de la Banque mondiale et le Fonds monétaire international eurent jugés suffisants les progrès réalisés par la République Centrafricaine pour obtenir de la part de tous ses créanciers un allègement de sa dette dans le cadre de l’Initiative renforcée en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE).