POLITIQUE
Organisé par les leaders des jeunes et la primature avec l’appui financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), cet atelier permettra à une centaine de participants d’échanger avec des communicateurs et facilitateurs de haut niveau sur les thèmes d’actualité comme la situation politique actuelle de la République Centrafricaine, l’apport du système des Nations Unies dans la processus, le rôle des jeunes dans la consolidation de la paix.
« L’objectif de cet atelier est de faire prendre conscience aux leaders des jeunes centrafricains de l’importance de leur rôle dans la consolidation de la paix et de la nécessité de jouer un rôle de façon solidaire et constructive aux côtés des autres jeunes et des autres entités », a déclaré M. Patrick Nambéaré Ngaguéné, chargé de mission en matière de la jeunesse à la primature.
M. Nambéanré a ajouté que « les leaders des jeunes qui oeuvrent au sein même de cette jeunesse sont les premiers agents de l’exécution car vecteur de communication et de courroie de transmission, voire de vulgarisation des recommandations du Dialogue Politique Inclusif », a-t-il précisé.
« La jeunesse centrafricaine, en tant que victime à tort et à plein temps dans les conflits qu’a connus le pays au cours de ces dernières années, constitue un maillon incontournable pour le rétablissement de la paix et de la stabilité dans ce pays », a fait remarquer M. Sam Kum Buo, Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique.
Pour lui, « les Nations Unies restent convaincues que la consolidation de la paix en République Centrafricaine passe par la mise en œuvre de toutes les recommandations issues des assises du Dialogue Politique Inclusif et ceci dans les délais prévus ».
« Aussi convient-il de rappeler ici que la problématique qui s’impose et à laquelle nous devons tous y réfléchir, concerne le rôle de la Jeunesse et sa responsabilité dans la consolidation de la paix en Centrafrique », a affirmé le ministre d’Etat Gonda.
Selon lui, « les jeunes ne doivent pas continuer à être spectateurs dans le combat que mène notre pays pour sortir de l’insécurité et du sous développement », mais « Ils doivent devenir de véritables acteurs de promotion et de développement de la culture de la paix ».
Rappelons que c’est le ministre d’Etat en charge de la Communication, du Civisme, de la Réconciliation Nationale et du Suivi du dialogue qui va plancher en levée de rideau sur le thème intitulé « la situation politique actuelle en RCA ».
« L’objectif de cet atelier est de faire prendre conscience aux leaders des jeunes centrafricains de l’importance de leur rôle dans la consolidation de la paix et de la nécessité de jouer un rôle de façon solidaire et constructive aux côtés des autres jeunes et des autres entités », a déclaré M. Patrick Nambéaré Ngaguéné, chargé de mission en matière de la jeunesse à la primature.
M. Nambéanré a ajouté que « les leaders des jeunes qui oeuvrent au sein même de cette jeunesse sont les premiers agents de l’exécution car vecteur de communication et de courroie de transmission, voire de vulgarisation des recommandations du Dialogue Politique Inclusif », a-t-il précisé.
« La jeunesse centrafricaine, en tant que victime à tort et à plein temps dans les conflits qu’a connus le pays au cours de ces dernières années, constitue un maillon incontournable pour le rétablissement de la paix et de la stabilité dans ce pays », a fait remarquer M. Sam Kum Buo, Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique.
Pour lui, « les Nations Unies restent convaincues que la consolidation de la paix en République Centrafricaine passe par la mise en œuvre de toutes les recommandations issues des assises du Dialogue Politique Inclusif et ceci dans les délais prévus ».
« Aussi convient-il de rappeler ici que la problématique qui s’impose et à laquelle nous devons tous y réfléchir, concerne le rôle de la Jeunesse et sa responsabilité dans la consolidation de la paix en Centrafrique », a affirmé le ministre d’Etat Gonda.
Selon lui, « les jeunes ne doivent pas continuer à être spectateurs dans le combat que mène notre pays pour sortir de l’insécurité et du sous développement », mais « Ils doivent devenir de véritables acteurs de promotion et de développement de la culture de la paix ».
Rappelons que c’est le ministre d’Etat en charge de la Communication, du Civisme, de la Réconciliation Nationale et du Suivi du dialogue qui va plancher en levée de rideau sur le thème intitulé « la situation politique actuelle en RCA ».
