L’intérêt de cet atelier est d’aider à restaurer les services d’infrastructures de base dans certains arrondissements de Bangui qui manquent d’infrastructures d’alimentation en eau potable, de gestion des déchets solides de voirie et de drainage.
Cet atelier est organisé grâce au concours financier et technique de la Banque Mondiale en partenariat avec le ministère de la Reconstruction, des Edifices Publics, et mobilise au moins cent cinquante participants venus des différents départements ministériels, des organisations internationales et de la société civile, qui pendant 2 jours vont se pencher sur la réhabilitation des infrastructures, des services urbains, la modalité de la mise en œuvre et la procédure de gestion financière.
M. Timoléon Mbaïkoua a déclaré que la tenue de cet atelier « démontre un signal fort du réengagement total de la Banque mondiale vis à vis de la République Centrafricaine ».
Le maire de Bangui, M. Jean Barkes Ngombé Ketté a pour sa part relevé que « l’eau potable est rare et n’est disponible qu’à un faible pourcentage de la population ».
« La capacité de la Société de distribution d’eau en Centrafrique la Sodéca est sérieusement entravée, la collecte des déchets solides est limitée et non fiable, le dépôt des ordures dans les caniveaux de drainage est l’une des principales causes des inondations saisonnières qui se produisent fréquemment à Bangui », a-t-il souligné.
Il a par ailleurs ajouté que « le réseau routier urbain est en mauvais état et se détériore rapidement à cause de fortes érosions pendant la saison des pluies rendant les routes impraticables ».
Signalons que la Banque mondiale a mobilisé une assistance au gouvernement centrafricain sous forme de don d’un montant de 9 milliards F CFA pour le financement dudit projet d’urgence de réhabilitation d’infrastructures et des services urbains dont un délai d’exécution de quatre ans.
Cet atelier est organisé grâce au concours financier et technique de la Banque Mondiale en partenariat avec le ministère de la Reconstruction, des Edifices Publics, et mobilise au moins cent cinquante participants venus des différents départements ministériels, des organisations internationales et de la société civile, qui pendant 2 jours vont se pencher sur la réhabilitation des infrastructures, des services urbains, la modalité de la mise en œuvre et la procédure de gestion financière.
M. Timoléon Mbaïkoua a déclaré que la tenue de cet atelier « démontre un signal fort du réengagement total de la Banque mondiale vis à vis de la République Centrafricaine ».
Le maire de Bangui, M. Jean Barkes Ngombé Ketté a pour sa part relevé que « l’eau potable est rare et n’est disponible qu’à un faible pourcentage de la population ».
« La capacité de la Société de distribution d’eau en Centrafrique la Sodéca est sérieusement entravée, la collecte des déchets solides est limitée et non fiable, le dépôt des ordures dans les caniveaux de drainage est l’une des principales causes des inondations saisonnières qui se produisent fréquemment à Bangui », a-t-il souligné.
Il a par ailleurs ajouté que « le réseau routier urbain est en mauvais état et se détériore rapidement à cause de fortes érosions pendant la saison des pluies rendant les routes impraticables ».
Signalons que la Banque mondiale a mobilisé une assistance au gouvernement centrafricain sous forme de don d’un montant de 9 milliards F CFA pour le financement dudit projet d’urgence de réhabilitation d’infrastructures et des services urbains dont un délai d’exécution de quatre ans.