Il s’agit de MM. Gabriel Jean Edouard Koyambounou, Christophe Brémaïdou, Baudin Ngbondo Tabassi, Venant Eloge Ngouma, provenant de l’opposition démocratique et M. Lucien Mbaïgoto désigné par les politico-militaires.
Ces nouveaux appelés vont remplacer MM. Ernest Mandakombo, Clément Erégani, Marcel Yangué Boyfini, Joseph Théophile Douaclé, Gabriel Goloumo de l’opposition démocratique et Armand Guétel, un représentant des mouvements politico-militaires, désavoués par leurs mouvements respectifs.
Avant la prestation de serment des nouveaux membres de la CEI , le Procureur Général, M. Armand Abezene Djoubaye, est longuement revenu sur les dispositions de la loi 09.016 du 2 octobre 2009 portant Code électorale de la République Centrafricaine.
D’après lui, « la Commission Electorale Indépendante, en relation avec le Ministère de l’Administration du Territoire, est chargée de la préparation, de l’organisation et de la supervision des élections présidentielle, législatives, régionales, municipales… et d’assurer la publication des résultats provisoires au vu des procès verbaux provenant des bureaux de dépouillement ».
Au regard de la mission confiée à la CEI , a poursuivi le Procureur général, il incombe aux membres de la CEI de nombreuses tâches incluant la préparation matérielle des élections, l’organisation de la campagne électorale et des élections, enfin, la proclamation des résultats du vote…
Il leur a interdit de défendre « les considérations partisanes, ethniques et religieuses ».
Après la prestation de serment, les cinq nouveaux membres de la CEI ont été renvoyés dans leurs nouvelles fonctions par le Président du Tribunal de Grande Instance de Bangui, M. Salomon Ndoma Apano, en présence des Ministres Laurent Gon Baba de la Justice et Elie Ouéïfio de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, ainsi que du Révérend Pasteur Joseph Binguimalé, président de la CEI.
Ces nouveaux appelés vont remplacer MM. Ernest Mandakombo, Clément Erégani, Marcel Yangué Boyfini, Joseph Théophile Douaclé, Gabriel Goloumo de l’opposition démocratique et Armand Guétel, un représentant des mouvements politico-militaires, désavoués par leurs mouvements respectifs.
Avant la prestation de serment des nouveaux membres de la CEI , le Procureur Général, M. Armand Abezene Djoubaye, est longuement revenu sur les dispositions de la loi 09.016 du 2 octobre 2009 portant Code électorale de la République Centrafricaine.
D’après lui, « la Commission Electorale Indépendante, en relation avec le Ministère de l’Administration du Territoire, est chargée de la préparation, de l’organisation et de la supervision des élections présidentielle, législatives, régionales, municipales… et d’assurer la publication des résultats provisoires au vu des procès verbaux provenant des bureaux de dépouillement ».
Au regard de la mission confiée à la CEI , a poursuivi le Procureur général, il incombe aux membres de la CEI de nombreuses tâches incluant la préparation matérielle des élections, l’organisation de la campagne électorale et des élections, enfin, la proclamation des résultats du vote…
Il leur a interdit de défendre « les considérations partisanes, ethniques et religieuses ».
Après la prestation de serment, les cinq nouveaux membres de la CEI ont été renvoyés dans leurs nouvelles fonctions par le Président du Tribunal de Grande Instance de Bangui, M. Salomon Ndoma Apano, en présence des Ministres Laurent Gon Baba de la Justice et Elie Ouéïfio de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, ainsi que du Révérend Pasteur Joseph Binguimalé, président de la CEI.