49 ans, jour pour jour où l’Oubangui-Chari est devenu République Centrafricaine, ce beau pays de Boganda, de Souha-Lakpé n’est resté que l’ombre de lui-même.
« L’histoire est un itinéraire », dit un adage. Mais s’il est vrai que l’itinéraire traversé par la République Centrafricaine depuis son indépendance n’est pas dénué de grandes réalisations, son histoire n’en est pas moins synonyme de nombreux rendez-vous manqués et d’instabilités permanentes.
Depuis 1958 à jours, le pays de Boganda n’a connu que humiliations et désolations.
En quatre décennies, la RCA a eu huit (8) constitutions, plusieurs coups d’Etat et soubresauts militaires avec comme conséquences, un marasme économique énervé et une pauvreté accrue.
Aujourd’hui, la République Centrafricaine se cherche et s’ouvre petit à petit au monde avec la tenue le 26 octobre dernier à Bruxelles de la Table Ronde des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine sanctionnée par une enveloppe globale de 300 milliards F CFA, en vue de soutenir le gouvernement dans sa lutte contre la pauvreté.
Avec les nouveaux horizons qui s’ouvrent à la République Centrafricaine, les centrafricains doivent saisir toutes les chances de cette nouvelle décennie, en mettant en œuvre le cadre stratégique de lutte contre la pauvreté, la politique du grand rassemblement du peuple centrafricain et surtout encourager les partenaires au développement en affirmant la ferme volonté « d’euthanasier » définitivement l’instabilité.
« L’histoire est un itinéraire », dit un adage. Mais s’il est vrai que l’itinéraire traversé par la République Centrafricaine depuis son indépendance n’est pas dénué de grandes réalisations, son histoire n’en est pas moins synonyme de nombreux rendez-vous manqués et d’instabilités permanentes.
Depuis 1958 à jours, le pays de Boganda n’a connu que humiliations et désolations.
En quatre décennies, la RCA a eu huit (8) constitutions, plusieurs coups d’Etat et soubresauts militaires avec comme conséquences, un marasme économique énervé et une pauvreté accrue.
Aujourd’hui, la République Centrafricaine se cherche et s’ouvre petit à petit au monde avec la tenue le 26 octobre dernier à Bruxelles de la Table Ronde des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine sanctionnée par une enveloppe globale de 300 milliards F CFA, en vue de soutenir le gouvernement dans sa lutte contre la pauvreté.
Avec les nouveaux horizons qui s’ouvrent à la République Centrafricaine, les centrafricains doivent saisir toutes les chances de cette nouvelle décennie, en mettant en œuvre le cadre stratégique de lutte contre la pauvreté, la politique du grand rassemblement du peuple centrafricain et surtout encourager les partenaires au développement en affirmant la ferme volonté « d’euthanasier » définitivement l’instabilité.