POLITIQUE
Avant l’arrivée du cortège, la place de la République était envahie par la présence des forces de l’ordre à savoir la gendarmerie, la police nationale, la police municipale ainsi que la Fomuc et la garde présidentielle venues assurer de l'ordre. Les commerçants du marché central, les fonctionnaires et autres travailleurs du secteur privé et la population riveraine du centre ville se sont déportés comme un essaim au bord de la route pour accueillir le passage du cortège qui venait du côté de l'avenue David Dacko.
« Que son corps soit inhumé en paix et dans la dignité car le président Kolingba est un homme de la paix. », a déclaré Mme Nguengo Thérèse, âgée de 62 ans, interrogée par l'Acap.
M. Mahamat Ziniga de la colonie tchadienne, a exprimé son émotion avant de témoigner que le défunt président était un homme qui a garanti l’autosuffisance alimentaire « Car pendant son époque, avec 300 francs, on pouvait convenablement manger, aussi il y avait trois millions de bœufs qui équivalaient au nombre d’habitants».
Dans un véhicule militaire, le cercueil recouvert du drapeau de la République Centrafricaine, entouré d'éléments du bataillon d'honneur de la garde républicaine en tenue de couleur rouge et bleu, passait lentement dans la ville, sous les cris et les pleurs de la foule.
Des centaines de jeunes, rameaux de palmier ou feuilles de manioc en main et bandeaux au front en signe de deuil, précédaient en courant le cortège, qui a mis pas moins de 5 minutes pour passer le P.K. 0.
« Que son corps soit inhumé en paix et dans la dignité car le président Kolingba est un homme de la paix. », a déclaré Mme Nguengo Thérèse, âgée de 62 ans, interrogée par l'Acap.
M. Mahamat Ziniga de la colonie tchadienne, a exprimé son émotion avant de témoigner que le défunt président était un homme qui a garanti l’autosuffisance alimentaire « Car pendant son époque, avec 300 francs, on pouvait convenablement manger, aussi il y avait trois millions de bœufs qui équivalaient au nombre d’habitants».
Dans un véhicule militaire, le cercueil recouvert du drapeau de la République Centrafricaine, entouré d'éléments du bataillon d'honneur de la garde républicaine en tenue de couleur rouge et bleu, passait lentement dans la ville, sous les cris et les pleurs de la foule.
Des centaines de jeunes, rameaux de palmier ou feuilles de manioc en main et bandeaux au front en signe de deuil, précédaient en courant le cortège, qui a mis pas moins de 5 minutes pour passer le P.K. 0.
