Selon le décret lu à la radio nationale en mi-journée, le ministre du Développement Rural et de l’Agriculture, M. Fidèle Gouandjika, nommé porte parole gouvernement 24 heures plus tôt, doit cumuler ses fonctions avec celles de ministre intérimaire de la Communication, du Civisme, de la Réconciliation Nationale et du Suivi de Dialogue.
Le ministre de l’Ordre public et de l’immigration, le général Jules Bernard Ouandé, doit quant à lui assurer l'intérim au département de l’Administration du Territoire et de la décentralisation.
Dans la foulée, le président de la République a pris deux autres décrets nommant M. Elie Ouéfio, limogé la veille de l'Administration du Territoire, à la présidence de la République comme ministre Secrétaire général et le général Raymond Ndougou au poste de ministre délégué à la présidence de la République chargé du Désarmement Démobilisation et Réinsertion (DDR).
Il convient de signaler que les ministres intérimaires nommés mercredi retrouvent des départements dont ils avaient déjà eu la charge au sein des précédentes équipes gouvernementales.
Il en est de même pour le général Ndougou, signataire de l'Accord de Syrte avec le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (rébellion du Général Abdoulaye Miskine), qui suivait l'évolution du programme DDR en qualité de conseiller à la présidence de la République, poste qu'il occupait depuis son départ du ministère de l'Intérieur en janvier 2008.
Le ministre de l’Ordre public et de l’immigration, le général Jules Bernard Ouandé, doit quant à lui assurer l'intérim au département de l’Administration du Territoire et de la décentralisation.
Dans la foulée, le président de la République a pris deux autres décrets nommant M. Elie Ouéfio, limogé la veille de l'Administration du Territoire, à la présidence de la République comme ministre Secrétaire général et le général Raymond Ndougou au poste de ministre délégué à la présidence de la République chargé du Désarmement Démobilisation et Réinsertion (DDR).
Il convient de signaler que les ministres intérimaires nommés mercredi retrouvent des départements dont ils avaient déjà eu la charge au sein des précédentes équipes gouvernementales.
Il en est de même pour le général Ndougou, signataire de l'Accord de Syrte avec le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (rébellion du Général Abdoulaye Miskine), qui suivait l'évolution du programme DDR en qualité de conseiller à la présidence de la République, poste qu'il occupait depuis son départ du ministère de l'Intérieur en janvier 2008.